Cette histoire de "mannequins vivants" est ici abordée comme une métaphore d'une société robotisée où le conditionnement et la mise à l'écart des plus faibles peuvent renvoyer à toutes les exclusions de notre société contemporaine.
Il s'agit aussi de la résistance de l'individu, de son désir de liberté malgré les risques que cela implique face à la tentation que peut représenter le confort de l'uniformisation, du formatage, même imposés par une autorité mystérieuse.