-Beau défi mais non relevé!
Le texte l'annoncait dés le début: il est impossible de résumer Proust en 15 seconde, pas plus qu'en 1 heure d'ailleur. L'auteur a essayer de papilloner en grapillant dans la vaste oeuvre et vie de Proust. Or, il se trouve qu'il s'y ai bien perdu, et le spectateur avec. je m'explique, aps d'angle d'attaque de l'ouevre, des parties décousues mélant vie privée et fiction littéraire. Et dieu sais que si dans Proust le "je" n'est pas l'auteur: référez vous aux brouillons ou proust, in extremis raye toutes les occurences de 'Marcel' de son oeuvre avant de la publier. Il montre clairement son dessain, que le metteur en scène refuse de considérer, laissant place a un meli-melo incomprehéensible entre la fiction et l'homme. Certes, ca aurai pu donner quelquechose d'interessant, laissant a penser, mais non... un coup d'épée dans l'eau. Pourtant, Proust ne m'est ni inconnu et est est loin de m'etre désagréable! Mais, ici, le théatre semble avoir oubliée sa fonction principale: instruire MAIS avant tout "plaire"! Or, cet aspect primordial voire central passe a la trappe sous pretexte d'une vertue d'errudition du théatre. Les commantaires des autres personnes que j'ai capté au vol disant 'J'ai aimé...c'est mon moment culturel du mois', quel tristesse et quel avenir pour le théatre! Pourquoi un tel raté pour moi: un jeu interessant de la part du commédien mais un jeu fade et sans vie de la commédienne, gesticulant malgrée elle, incapable de redonner vie a la magie du texte proustien, préoccupée par sa performance théatrale plus que par le plasir qu'elle peut faire partager... "Le plaisir est dans le risque" disait Barthes, cette piece n'a pas osé jouer la carte du risque en tombant dans une simple mise en scène d'une récitation parfois balbutiante du texte Proustien. Je pense que lorsque cela ne palit pas, il faut oser le dire. Ici, les principaux défault est un désir insatisfait d'errudition passant par une pseudo exhaustivité et uen dévitalisation d'un texte par la partie féminine de la piece, completement a la surface du texte, ou alors refusant de nous le faire partager!
# écrit le 25/11/06