La symphonie de Beethoven, qui sert au titre, donne l'ambiance et fait comme un clin d'oeil à l'emportement et à la fougue de la jeunesse. Dans cette pièce, la chorégraphe belge, figure de la danse contemporaine, démontre une fois encore sa capacité à passer du plus léger au plus grave, du plus tendre au plus périlleux. Elle y affirme sa manière unique de scinder le groupe en duos et trios simultanés pour mieux rassembler de nouveau. Une re-création magique.

Le mot de... " Un mélange d'énergie, de plaisir, de légèreté qu'on croyait impossible à reproduire. La chorégraphe y est pourtant magnifiquement parvenue. " Jean-Marie Wynants, Le Soir.