-la trés mauvaise surprise....
même invites surtout preparez vous au pire
# écrit le 11/06/04

-JE PLEURE ENCORE DE RAGE
D'avoir eu la bétise d'entrainer mes amis dans un spectacle aussi merdique alors que nous sommes tous les 4 avec des petits salaires nous avons payes ce qui est tout à fait normal ce qui l'ai moins ce que l'on se foutent du public à ce point
# écrit le 11/06/04

-Cinq trublions déjantés
Cinq clowns pour rendre hommage au roman policier américain, cinq personnages emberlificotés dans les rêts d’une enquête où le sordide du rictus de la mort se détend en rire cathartique, cinq trublions déjantés pour évoquer l’univers glauque et dépravé des bas-fonds de la violence : Maria Zachenska invente un spectacle poétique et brutal, à la forme originale et aux effets remarquablement orchestrés. La très belle harmonie du jeu et la parfaite fluidité de la mise en scène font de cette œuvre étonnante et atypique un remarquable moment de théâtre. A voir absolument ! Catherine Robert -Theatreonline.com-
# écrit le 08/06/04

-Du concentré de série noire en tube.
LES CLOWNS SONT DES ENFANTS. ILS JOUENT ! Il ne faut pas trop chercher à suivre l’intrigue policière. C’est du concentré de série noire en tube. Il suffit de presser pour faire sortir les personnages. Ils sont cinq pour se trouver cinq cent en arrivant au port. Ils sortent du chapeau à la demande, un genre d’improvisation burlesque de la tragédie humaine aussi monstrueuse que grotesque. Ils sont clownesques, guignolesques, un peu Coluche, un peu dessins animés. Ils s’interrogent. Nous interrogent, essaient de réorganiser le chaos, celui des corps, celui des âmes, mais c’est difficile, trop difficile. Ils envoient tout valdinguer, les valeurs, la culpabilité. C’est qu’il y a tout ça dans les polars, des coupables, des victimes, des mobiles. Il n’y a pas de décor. Les comédiens, remarquables d’invention et de vitalité nous entraînent dans un maelström d’images, de situations aussi drôles qu’incompréhensibles. Dans cet univers explosif, les mots n’ont plus beaucoup d’importance. L’histoire n’est plus racontable tellement mise à mal par toutes les turpitudes, sévices et autres indignités sadiques dont les hommes sont capables. Les scènes arrivent en vrac, l’ensemble peut paraître décousu, hétéroclite, absurde. C’est comme ça qu’on doit nous voir quand on nous observe de la planète Mars. Claude Kraif -revue-spectacle.com-
# écrit le 10/06/04