Trois amis d'enfance, Marco, Charles et Sylvain, se retrouvent par hasard à une réunion sur le pénis. En attendant le maître de cérémonies, qui n'arrivera évidemment jamais, ils vont tenter de répondre à toutes les questions que suscite la chose. Il s'agit de proposer aux spectateurs, eux aussi venus assister à cette réunion, un panel de toutes les péripéties qu'un pénis peut faire vivre à son homme. Mais aussi et surtout de mener une introspection dans laquelle chaque personnage, à travers un parcours anecdotique bien singulier, livrera ses états d'âme. Ce chemin sera plein d'accidents, d'embuches, de joie, de plaisir et d'Amour...

Le pénis non pas réduit à son état simple de morceau de chair, non, cela va beaucoup plus loin. Ici le pénis entre en rapport avec la société, l'amour, la sexualité, la simplicité, la spiritualité... Le vecteur de ce récit : trois amis d'enfance, trois archétype du genre masculin devenant tour à tour enfant, adolescents, adulte ou vieillard.

Trois personnages, à la fois différents et complémentaires, dans lesquels le public pourra s'y retrouver. Les monologues du Pénis c'est un peu l'histoire de tout homme. Mais c'est surtout un véritable hymne à la vie, donc à la femme. On ne sait que trop bien que c'est l'amour qui mène le monde (l'argent aussi, mais il cohabite souvent avec la premier). Que serait le pénis, sans un pénis de taille acceptable et qui fonctionne quand on le lui demande ? Toutes les civilisations l'ont chanté, sculpté, divinisé, et aujourd'hui encore, il fait couler beaucoup d'encre, de la présidence des plus grands Etats (quand il marche bien, voir trop bien), aux grades firmes pharmaceutiques (quand il ne marche plus), en passant par le septième arts. On ne saurait être exhaustif. C'est donc une histoire, des histoires de pénis, le pénis dans l'histoire, le pénis sans histoire, les pénis qui ont fait l'histoire, le pénis dans tout ses états, ses milles et un visages, que nous vous présenterons.