Andreas Scholl

Il impressionne par la souveraine beauté de son timbre et par son aptitude à interpréter avec le même bonheur les airs virtuoses et les lamenti.
Ses concerts et rôles à l'opéra, tout comme ses albums dévolus à des airs de Mozart, Haendel et Gluck ont tous été des moments miraculeux de poésie et d'élégance. Après son récital italien la saison dernière (Bencini, Gasparini, Marcello, Vivaldi), il revient cette saison pour des lieder baroques allemands et des airs de concert de Mozart et Haendel.

Au programme :

Johann Nauwach : Jetzund kömpt die Nacht herbey, Ach Liebste, laB uns eilen
Heinrich Albert : Veneris miseras resonare querelas
Adam Krieger : Ihr bleibet nicht Bestand verpflicht, Der liebe Macht herrscht Tag und Nacht, Der Rheinsche Wein
Johann Caspar Ferdinand Fischer : Prélude et Chaconne en sol majeur
Johann Philipp Krieger : Schmilz, hartes Herz, An die Einsamkeit
Andreas Hammerschmidt : Kunst des Küssens
Johann Valentin Görner : An den Schlaf
Haendel : Nel Dolce tempo, Lungi da ma pensier tiranno
Chaconne en sol majeur, HWV 435 Dolc'é pur d'amor l'affano.