Urban Grio + Nëggus + Kungobram

Urban Grio (slam,hip hop,funk):

Urban Grio' s'est construit au début l'année 2009, autour de Lunik artiste slameur, rappeur de la scène cergyssoise. Le groupe prend forme avec l'arrivée de Jiu, bassiste (Novagreen, Miss T Lô, Little Ced...) et de JP batteur et percussionniste (Orange Street, Odyssée Jamaïque...).

Ce trio musical invite à une rencontre originale entre tradition et modernité. Le conte est revisité, criant de réalisme, les mots sont percutants et à fleur de bitume, tour à tour graves ou plus légers mais toujours pertinents, Les textes, électrisés par la présence de son grio', sont illustrés par une musicalité riche: l'immersion est totale. Les influences musicales sont aussi éclectiques que le trio d'Urban Grio', issu des univers rock, reggae et rap. A la fois, funky, afro et jazzy, la musique d'Urban Grio' ne se laisse pas enfermer dans une seule case. Nëggus (slam,jazz):

Certains font battre le coeur du monde avec de l'art... Nëggus est de ceux là, de l'ambre au bout des doigts et de l'ombre dans la voix. Alors, qu'on ne s'étonne pas si dans les accents de sa musique se mêlent sonorités africaines, jazz, soul, blues et hip-hop. Et s'il a choisi de faire du temps une condition de sa création, de sa réflexion, de sa construction. C'est que pour atteindre la beauté, il faut du temps. Alors Nëggus prend le temps. Son art se compose avec le temps.En attendant, Nëggus écrit, scande, compose, expose...se pose en poète vivant. Kungobram: est un savoureux mélange d'ici et d'ailleurs, fait d'allers-retours entre Paris et Bamako. Dans ce trafic incessant, cinq musiciens se retrouvent pour nouer un dialogue qui oscille entre quête de soi et rêve de l'Autre. Mêlant jazz, musiques urbaines et style ouest-africain, KUNGOBRAM propose une oeuvre originale fondée sur deux principes moteurs : le rythme et l'énergie. Le mélange est surprenant, inédit, excitant, parfois calme et méditatif. www.myspace.com/neggus

1ère partie : Les élèves du conservatoire à rayonnement régional de Cergy-Pontoise et les élèves du Conservatoire de Persan