-deception 5/10 je suis une inconditionnelle d' Eric Emanuel Schmidt. Je m'attendais à voir une aussi bonne pièce que Madame Pylinska et le Secret de Chopin. Or ici j'ai été très déçue par l adaptation et la mise en scène. L'énumération des 10 enfants n'est pas très vivant et la pièce parait très longue. # écrit le 02/04/23 -Profondément humain et poétique Très beau spectacle interprété avec générosité. Un vrai moment de partage, de rêveries et de sagesse. # écrit le 13/03/23 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com -Perplexe 4/10 Une histoire qui tourne un peu en rond, à tel point que j'ai cru que la pièce avait duré plus d'une heure et demi. Description des enfants de mme Ming qui ne m'a pas accrochée. Et pourtant il y avait des choses pour nous distraire (violon, marionnettes) mais ça ne suffisait pas. Le plus bizarre c'est que mme Ming, dont la chinoisite était un élément essentiel au récit n'était même pas asiatique. Comme si on avait pris un japonais pour jouer Mandela... # écrit le 11/03/23 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com -Zénitude et philosophie de vie 10/10 Belle adaptation des textes d'Éric-Emmanuel Schmitt, mise en scène très originale avec l'utilisation de marionnettes le tout accompagné d'une violoniste. Très belle Madame Ming, on a envie de la prendre dans nos bras. Bravo aux comédiens pour ce bon moment de théâtre. # écrit le 30/07/22 -Une très bonne pièce 10/10 Quelle bonne idée ces marionnettes ! C'est très original, on a beaucoup aimé. # écrit le 27/07/22 -À ne pas manquer à Avignon 10/10 Pièce très originale qui nous a beaucoup plu. # écrit le 08/07/22 , a vu Madame Ming,Théâtre Actuel Avignon avec BilletReduc.com -Clichés et mauvais goût sont au rendez-vous 1/10 Madame Ming est une pièce au ton pompeux dont le personnage principal et narrateur est un riche businessman français venu s'enrichir dans une entreprise de jouets chinoise. Il y rencontre une agente de propreté (qu'il ne cessera d'appeler " dame pipi ", non sans condescendance) qui lui raconte, de jour en jour, l'histoire rocambolesque de chacun de ses dix enfants. Arrogant, le businessman accumule les moqueries dans le dos de la chinoise, prétendant que ses histoires ne sont que de vulgaires mensonges (c'est une femme, chinoise et présentée comme sa subalterne, pourquoi lui donner du crédit ?) Pire, l'homme-blanc-puissant-et-sûr-de-lui se vante d'avoir à sa disposition une avocate prête à écarter les jambes au moindre de ses passages à Paris, mais qui finit (la malchanceuse) par tomber enceinte de lui, ce qui l'amène à ignorer son amante et nier sa paternalité, exempt (parce qu'homme) de toute responsabilité. Un sale type qui fuit dès qu'on parle d'engagement, rien d'inhabituel ! La future mère, quant à elle, n'a pas son mot à dire : on ne se demande pas pourquoi après tout elle aurait envie de finir sa vie avec cet expat imbus d'indépendance qui de toute évidence n'a pas l'altruisme nécessaire pour être un bon père. À des années-lumière d'une quelconque déconstruction, le propos choque autant que la forme : les personnages chinois sont joués par des français (perpétuant ainsi la pratique ancestrale et vivement critiquée du whitewashing) quand ils ne sont pas incarnés par des marionnettes grimées en chinois (teint jaune citron, traits noirs à la place des yeux) et doublées par une voix française singeant çà et là l'accent mandarin. Eric-Emmanuel Schmitt, double de l'homme d'affaire volubile, se complait dans les stéréotypes : madame Ming ne s'exprime presque qu'en proverbes et rit niaisement à la moindre flatterie de son interlocuteur, qui, lui, fait montre de l'élocution et du vocabulaire d'un président. Les récits qu'elle lui confie sur ses enfants (in fine effectivement fantasmés, il ne faudrait pas donner tort à l'homme blanc) sont empreints d'occidentalisme : tous accomplis, ils sont agent secret, paysagiste, tueuse en série, étudiants dans de grandes écoles. C'est laisser de côté tout déterminisme social : une " dame pipi " qui parle français et rêve d'enfants agents secrets ? C'est aussi ériger en héros un descendant de colons, acteur de l'esclavage moderne, sans dénoncer les inégalités qui résident entre les personnages. Des anti-héros au théâtre, il en existe, mais ils ne sont intéressants que lorsqu'ils sont moqués, quand leur égocentrisme et leur suprématie vaine les réduit à l'infime au profit des vrais héros qui prennent la tête de l'histoire. Ici, le businessman n'est pas remis en question, au contraire : en guise de morale, assommé de récits d'enfants avortés, il décide dans la plus grande insouciance de " devenir père " (et ça promet). # écrit le 30/03/23 -Madame Ming Bonjour, Pièce très originale dans la mise en scène, avec marionnettiste chevronnée, violoniste impliquée. Artistes doués, texte profond. Nous avons passé une bonne soirée. # écrit le 27/02/23 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com -Euh ? Je suis très étonnée des critiques vues ici... Quand la pièce est très clairement contextualisée en Chine, je trouve vraiment dommage de ne pas choisir une actrice principale asiatique. Surtout quand la mise en scène est accompagnée par des marionnettes aux physiques très stéréotypées, tellement qu'elles sont d'ailleurs assez problématiques... Dommage car il y a de l'idée et l'acteur principal est très bon, mais j'étais gênée pendant toute la représentation... # écrit le 07/03/23 # ce symbole signifie "signaler au modérateur" Vous aussi, donnez votre avis: | |||||||||||||||||
