Le Portrait de Dorian Gray Théâtre le Ranelagh Affiche

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Le portrait de dorian gray
du samedi 18 janvier 2025
au mercredi 23 avril 2025


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Le Portrait de Dorian Gray

de Oscar Wilde , mis en scène par Thomas le Douarec

Théâtre le Ranelagh, Paris

559 critiques avec une note globale de
9/10

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56 pages de résultats
4 / 5 / 6 / 7 / 8 / 9

Alexroi Inscrit Il y a 7 ans 1 critique  
Utile: Oui Non
-Bravo
9/10

Super spectacle, bravo au acteur, et au metteur en scène. A Couper le souffle, Bravo
# écrit le 29/06/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,Théâtre la Bruyère Paris avec BilletReduc.com


Moon Inscrit Il y a 18 ans 201 critiques 1  
Utile: Oui Non
-Excellent
10/10

Superbe adaptation avec de très bons dialogues mettant délicieusement en lumière le cynisme d'Oscar Wilde, et un jeu d'acteur de qualité. A voir absolument!
# écrit le 13/06/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,Théâtre la Bruyère Paris avec BilletReduc.com


SyBer12 Inscrit Il y a 10 ans 59 critiques  
Utile: Oui Non
-Jolie adaptation
7/10

Mise en scène astucieuse, jolie adaptation du texte de Wilde avec des répliques ciselées par le maître. Globalement bien joué et rodé pour cette 800e représentation. Une belle soirée à consommer sans modération.
# écrit le 09/06/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,Théâtre la Bruyère Paris avec BilletReduc.com


bergère77 Inscrite Il y a 10 ans 12 critiques  
Utile: Oui Non
-superbe
10/10

pièce bien construite, de l'humour malgré la thématique, on ne s'ennuie pas et bravo aux comédiens/comédienne. un petit délice!
# écrit le 29/05/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,Théâtre la Bruyère Paris avec BilletReduc.com


kimnovak Inscrit Il y a 13 ans 53 critiques 2  
Utile: Oui Non
-Une représentation digne de ses devancières
8/10

Riche d'une multitude d'aspects, le roman se présente d'emblée comme un conte philosophique, moral, social, mais aussi comme un extraordinaire conte fantastique. Un conte noir plein de sève et de rebondissements qui s'articule autour d'un fort propos sur l'Art, l'expression picturale, la conscience de l'artiste ainsi que sur les manifestations de l'orgueil humain et ce qu'il est convenu d'appeler les chemins de la "perdition". Le roman, l'histoire, le déroulement dramatique, la fin tragique sont connus. Mais, Wilde n'a rien inventé, il s'est fortement inspiré du mythe de Faust (de Goethe) et surtout du roman de Balzac la Peau de chagrin (1831). Les adaptations (théâtre, cinéma) sont nombreuses : citons la pièce de 1977, au Daunou et réalisée pour TF1 par Pierre Boutron ; et surtout le chef d'oeuvre filmique d'Albert Lewin en 1945.Sur ce point, la présente adaptation théâtrale est digne de ses devancières Avant de poursuivre sur les caractères des personnages, car c'est cela l'important, disons que la mis en scène est sobre, élégante, et le jeu d'acteurs tout à fait remarquable.Nous sommes tenus en haleine du début à la fin et le parti pris de jouer dans le registre d'une certaine lenteur est fort opportun. Riche d'une multitude d'aspects, le roman se présente d'emblée comme un conte philosophique, moral, social, mais aussi comme un extraordinaire conte fantastique. Un conte noir plein de sève et de rebondissements qui s'articule autour d'un large propos l'expression picturale, la conscience de l'artiste ainsi que sur les manifestations de l'orgueil humain et ce qu'il est convenu d'appeler les chemins de la perdition. Son jeune âge, sa séduction, son raffinement, ses talents de musicien, lui ouvrent toutes les portes. Mais il affiche un tempérament fantasque, exalté, capricieux, taciturne, précieux et narcissique, taraudé par un désir frénétique et obsessionnel d'absolu. Son individualisme est un tison rougeoyant plaqué sur la nuque de ses victimes, et il éprouve une puissante répulsion envers tout ce qui est extérieur à lui. Mais le mentor, l'âme damnée, le deux ex machina, est campé par le cynique et cruel Lord Harry Wotton. Il est un virtuose de l'éloquence et du paradoxe, développe nombre de théories sur la vie, l'amour, le mariage, la société, la jeunesse, l'art sublime, avec à la fois des accents nihilistes et louangeurs. Peu à peu, ce personnage ondoyant, mielleux, pervers fascine Dorian comme si ses théories avaient été créées pour lui ; de fait, il est sous son entière emprise comme une marionnette manipulée. Alors, la déchéance, l'effroi se précisent. Dorian, sous la férule de ce lord satanique, comme une sorte de croisé de l'Antéchrist, Borgia, Sardanapale, se souille de crimes et de débauche. Il s'enferme peu à peu dans le train fantôme du nihilisme, de la cruauté, du mensonge, du scandale. C'est le voyage décadent, l'errance hallucinée du prince déchu, zombie dévoyé engagé dans un processus de non-retour. L'Art, quant à lui, fera éclore ses implacables vérités. La narration se terminera avec la fin aussi tragique que terrifiante du héros. En conclusion, nous assistons là à une mise en abyme et la pièce qui nous est donnée à voir grâce au grand talent des acteurs, rend parfaitement les thèmes du roman. Roman du dérèglement, de la dégénérescence, de la perdition délinquante, née d'une souffrance, d'une aspiration rebelle à faire voler en éclats un modèle social fermé, un ordre moral "castrateur", des moeurs ambiantes oppressives. C'est aussi l'oeuvre d'une exaltation violente et aveugle, fanatique et mégalomaniaque, de l'excellence et du beau. Pour Dorian Gray, l'art devient une préoccupation unique, fantasmagorique, obsessionnelle. Esclave de ses fixations idéalistes, il brise tout ce qui se met en travers de ses rêves. Wilde nous donne ici la radiographie d'une passion de l'art folle, exorbitante, monomaniaque, totalitaire, qui tourne autour d'elle-même, qui phagocyte, qui vampirise, qui ne partage pas, Dorian poursuivant comme un halluciné, la quête sur-héroïque d'un "graal" esthétique. Alors, pour les amateurs de beau théâtre, de belle littérature, de textes où l'esprit et l'art règnent en maître, ce spectacle ne saurait que plaire. Le spectateur y trouvera de nombreuses satisfactions à revisiter ce texte unique qui jette mille passerelles entre pensée et sentiment, conscience et idéal, création personnelle et signification artistique, entre frissons et merveilles.
# écrit le 10/06/19


Spectatif Inscrit Il y a 21 ans 887 critiques 85  
Utile: Oui Non
-Une adaptation réussie
8/10

... Une mise en scène épurée et fluide de Thomas Le Douarec, qui repose essentiellement sur les jeux. Un texte fort et captivant, le public est suspendu tout le long jusqu'à son dénouement cruel et fatal.
# écrit le 25/05/19


Raphadele92 Inscrite Il y a 8 ans 5 critiques  
Utile: Oui Non
-Un très bon moment
9/10

Très bonne interprétation des comédiens, mise en scène très réussie, nous avons passé une excellente soirée théâtrale. Petit clin d'oeil supplémentaire à Thomas Le Douarec qui est venu serrer la main des spectateurs à l'issue de la pièce.
# écrit le 05/05/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,Théâtre la Bruyère Paris avec BilletReduc.com


Paul86 Inscrit Il y a 11 ans 53 critiques  
Utile: Oui Non
-Super
9/10

Les comédiens sont très bons et la mise en scène est astucieuse, on passe un très bon moment.
# écrit le 03/05/19


grandbeta Inscrit Il y a 15 ans 18 critiques
Utile: Oui Non
-magnifique
8/10

très belle interprétation et remise au goût du jour de ce portrait de dorian gray scénographie particulièrement réussie
# écrit le 01/05/19


fab Inscrite Il y a 11 ans 7 critiques  
Utile: Oui Non
-Juste génial !
Une pièce dynamique et fort bien jouée. J'y suis retournée 3 fois ! Bravo !
# écrit le 02/11/19 , a vu Le portrait de Dorian Gray,La Comédie des Champs Elysées Paris avec BilletReduc.com


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