-Très belle pièce au théâtre de la Huchette
A la Huchette, une pièce de théâtre à ne pas louper ! Trois talentueux comédiens se partagent cette étroite scène et s'approprient le public facilement... Quelques notes de jazz, quelques pleurs et rires sont au rdv dans un texte touchant qui illustre avec humour la relation père-fils, écrit par Marc Villemain.
# écrit le 19 Octobre

-Superbe pièce à ne pas louper à la Huchette !
Poignante relation père-fils jouée par le fameux Claude AUFAURE et le très talentueux Ludovic BAUDE! Les dialogues écrits par Marc Villemain et la puissance de leur interprétation émeuvent sans tomber dans un tragique pesant. Le sourire vous viendra rapidement car, malgré l'incompréhension qui règne entre les membres de cette famille, ils restent liés par des passions et une maladresse touchantes. Hélène COHEN en matriarche arbitre apaise les quelques envolées lyriques de chacun... Vous vous identifierez facilement à l'un d'eux et éprouverez sans doute les sentiments qui les étouffent. A voir absolument, leur talent ne doit pas être manqué et la finesse des dialogues oubliée !
# écrit le 17 Octobre

-superbe pièce!!
Je recommande fortement d'aller assister à la pièce Ostinato!!
# écrit le 17 Octobre

-Un petit bijou d'émotion !
Cette pièce est un petit bijou d'émotion servie par des comédiens d'une rare justesse. Il y est question de secrets de famille, de paternité, de mal de mère et de drames enfouis. L'écriture est belle, ciselée, et les comédiens semblent s'en délecter. Courrez vite à La Huchette !
# écrit le 16 Octobre

-Formidable !
Ostinato sur cette petite scène de la Huchette transformée 1h15 durant en un salon feutré ouvert sur la mer est un bijou. Sous l'histoire de retrouvailles entre père et fils, c'est entendre notre propre rapport au temps, aux non-dits, aux mal-dits, que nous propose la pièce. Entendre la force de nos hésitations pourtant à enjeu vital, la fragilité de nos intuitions quand elles sont trop fortes... Ostinato laisse chez son spectateur un besoin de réhabiter son monde interne, et de se blottir les jours suivants dans la mémoire gardée de cette heure intense et poignante passée auprès d'un père et d'un fils, accompagnés dans une résolution finale de la compagne du père. Les mots d'abord nous échappent à parler de cette pièce. Sans doute parce qu'elle raconte par touches subtiles et indices progressifs, suspense impressionniste, la complexité de cette relation filiale. Relation logée dans son secret brutal. Brutal parce qu'il scinde l'enfance en deux. Celle du fils, enfant d'alors de 10 ans percuté par l'affolement d'un père. Mais aussi l'enfance d'une paternité, celle de cet homme d'alors face à un gamin de 10 ans interrogeant en silence grave les actions de son père. Pour les résolutions finales, il faut aller voir la pièce, comme il faut croire au printemps, nous chuchote l'auteur... Se confronter à l'urgence des non-dits tentant enfin d'éclater dans la parole. Se confronter au temps s'écoulant doucement, profondément entre fils et père dans un désir de s'écrire leur amour dans une conversation sans doute impossible... Il fallait un talent certain pour comprendre aussi loin la littérature de Marc Villemain et son texte pour pouvoir la mettre en scène. Et ce talent est celui de Dimitri Rataud . Si Ostinato est autant du style de Marc Villemain c'est autant par sa propre écriture que par le génie scénographique de Dimitri Rataud. Les déplacements et les postures des personnages, les musiques découpant (la scission de l'enfance...) les actes, les bouillons intériorisés de tristesse et de rage des personnages instantanément transmis aux spectateurs, tout cela tient du monde de Marc Villemain mais c'est à Dimitri Rataut qu'on le doit. Hélène Cohen est tout simplement saisissante. Dans une voix calme et douce Helen Cohen nous projette le désarroi d'une femme, jeune fille d'alors prise entre feu amoureux et impuissance face à l'histoire en marche d'un père et son fils. C'est par elle que la résolution nous arrive, sur le fil ténu séparant la colère de la détresse, magistralement interprétée par Helen Cohen. Ludovic Baude, dès la première minute installe un fils complexe, émouvant. Le comédien nous happe et ne nous lâche plus. Ici aussi, la leçon est magistrale. Ludovic Baude nous montre un homme qui n'a toujours pas pu lâcher la main de son enfance, et il n'en faut pas plus pour avoir l'impression qu'il se dédouble dans son jeu, tant l'enfant est à portée de main pour le spectateur. Claude Aufaure, fragile et tonitruant, nous plonge dans les méandres des histoires cruelles des espoirs déçus, mais cela aussi bien dans ses mots que dans un souffle, un regard, sur la crête toujours juste de ces émotions brûlantes. Ostinato est un écrin à la puissance d'interprétation de Claude Aufaure.
# écrit le 12 Octobre

-Une belle surprise
Une belle surprise que cette pièce à la Huchette. Je ne savais vraiment pas ce que ça allait donner, le titre m'intriguait. Nous avons vraiment apprécié ce thriller psychologique, servi par trois bons comédiens et par une bande son qui m'a enchantée.Ce spectacle mérite le succès.
# écrit le 28 Septembre

-La suite réussie d'un très beau roman
Deux types de spectateurs iront au Théâtre de la Huchette voir Ostinato de Marc Villemain, mis en scène par Dimitri Rataud : ceux qui n'ont pas lu son roman Il faut croire au printemps, et ceux pour qui la pièce en sera la suite, 37 ans plus tard. Les premiers assisteront à une quête de vérité, celle d'un homme venu éclaircir une histoire familiale trouble auprès de son père qui se tait, les seconds à un drame psychologique où le père devra choisir quoi faire de cette écrasante vérité. Je parle pour ces derniers et j'ai eu droit au plaisir d'une résolution qui sonne juste, tout en goûtant l'adaptation réussie du style romanesque de l'auteur à une oralité qui lui ressemble toujours beaucoup - c'est heureux. Dans l'idéal, lisez d'abord le bouquin, mais allez-y quoi qu'il en soit.
# écrit le 11 Octobre

-BRAVO !
Je n'ai pas l'habitude d'assister à des pièces de théâtre autres que classiques, mais je dois dire que cette oeuvre a su me surprendre et me captiver dès les premières minutes. Le mélange audacieux de modernité et de tradition m'a rapidement immergé dans l'univers unique de la mise en scène. Les dialogues offrent un équilibre parfait entre légèreté et profondeur, ce qui permet à l'intrigue de se dérouler avec fluidité tout en soulevant des questionnements essentiels. La performance des comédiens mérite également d'être soulignée : chacun a su apporter une véritable authenticité à son personnage, rendant l'ensemble de la distribution incroyablement cohérente et touchante. La scénographie est un atout majeur de cette production. Elle met en valeur l'espace scénique de manière ingénieuse, permettant aux émotions de s'exprimer pleinement sans jamais surcharger le spectateur. C'est dans cette sobriété que réside une grande partie de la force de la pièce. En sortant du théâtre, je me suis surpris à repenser aux moments forts de la soirée, et aux thèmes abordés, si subtilement intégrés dans une oeuvre contemporaine. Ce fut une véritable bouffée d'air frais, une exploration des émotions humaines qui résonnera en moi encore longtemps. Un spectacle à ne pas manquer, même pour les amoureux du théâtre classique comme moi. Bravo !
# écrit le 11 Octobre

-Quelle bonne surprise !
J'y allais sans trop savoir, parce que ça faisait longtemps que je n'avais pas vu jouer le formidable Claude Aufaure (et parce que le personnage principal est un ancien bassiste de jazz). Et je tombe là-dessus : une petite pièce superbement jouée et mise en scène, sans artifices ni trucs clinquants. Emotion tendue, dense, aucun pathos. Mais de l'humour aussi. Quant au choix des musiques, non seulement il est intelligent et jamais illustratif, mais ça nous emporte loin... Bravo, bravo et... bravo. !
# écrit le 11 Octobre

-Un vrai bonheur
Un texte formidable servi par de non moins formidables comédiens !
# écrit le 11 Octobre