Pas de compromis, il déballe sa verve sans se cacher derrière d'innombrables instruments, seule sa guitare l'accompagne.
On se fend la poire quand il tourne en dérision, sans ménagement, tous les rouages de notre société moderne, puis d'un seul coup on est ému, car malgré ses airs de trublion, se révèle au fil des textes une mélancolie profonde et presque mystérieuse.
Ses rencontres et ses amitiés l'ont déjà conduit à faire les premières parties d'Alain Aurenche au Forum Léo Ferré, d'Allain Leprest et de Sapho dans un concert de soutien au profit de " La Mie de Pain ".