dominique dorbe dans Misères du Désir

-Surprenant, trash et gonflé !
Une salle sympa, plutôt intimiste (cousins en self service à l’entrée) et un one-man-show pour le moins étonnant et osé. On rie beaucoup (jaune !), la vision est grinçante, provocatrice, voire très cynique, mais amène une réelle réflexion, non dénuée de fond. A la fois comique, intelligent et grave, et un propos parfois atroce de vérité ! Une chose est sûre : que l’on partage ou non cette vision acide, on sort de ce spectacle avec l’envie de réfléchir (ou de débattre !). A voir, ça déménage !
# écrit le 09/12/05 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-Choquant?
Non, poetique? surement, propice a provoquer de la reflection? certainement! un texte qui permet dans un climat de detente & de bonne humeur, a se poser des quetions sur la societe, Pfff pompeux !! eh ben non, c'est avec beaucoup d'humour, que ce texte est interprete ... Bravo :o))
# écrit le 16/11/05 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-Misères de misères!!!
Ici ont rit beaucoup mais plutôt jaune! Comment ne pas se reconnaître à un moment ou un autre? C'est drole, c'est grinçant, c'est osé, mais tellement vrai! Courrez-y!!!
# écrit le 22/11/05 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com

-Rire et réflechir...
Une belle surprise. Je ne connaissais pas, je suis venue par hasard et j'ai été agréablement surprise. C'est bien construit, bien joué, souvent intelligent et on passe de la reflexion à l'humour scatologique en un tour de mot. On est pas forcement d'accord avec tout, on peut regretter quelques raccourcis un peu manichéens (notamment au sujet de Bertrand Cantat et Marie T) mais au moins ça a le mérite de nous faire réflechir. Vous vous demandez comment on peut parler dans un même spectacle de Bataille, Sartre, Jamel, d'homo, de jeunes de banlieues, de "beurettes", de désir, de frustration et de pub en essayant d'échapper aux clichés habituels...allez voir "Misère du désir"... L'interprète est cynique à souhait lorsqu'il joue...et humble lorsqu'il vous salue à la fin. A voir.
# écrit le 01/12/05