N'osant l'aborder, Coelio fait en dernier recours appel à son ami Octave, viveur et libertin, cousin du mari de Marianne. Celle-ci continue de refuser ses avances mais tombe peu à peu amoureuse du messager : par caprice, elle lui offre même un rendez-vous où elle lui annonce sa décision de prendre un amant, mais surtout lui avoue à demi-mot son amour.

L'acuité des dialogues donne une belle part à la cause féministe et Marianne sait se battre pour l'émancipation de la femme. Amour et désir se croisent dans la pièce Les personnages secondaires sont traités par le masque à l'italienne et marquent ainsi la différence dans l'approche identitaire.