Nicolas Rafal est très ému. C'est "la première fois qu'il vient voir ce public en spectacle", "il espère que ce public va lui plaire, qu'il sera à la hauteur"... C'est par ces mots, installé dans le public que Nicolas Rafal démarre son spectacle.

Spectacle seul en scène dans lequel il interprète successivement son prof de piano russe, Sylvester Staline, un "ex du KGB reconverti dans l'éducation musicale des masses prolétaires", une danse kazatchock, un air chinois, une bossa enjouée, un rap endiablé au piano, bref il invite le public à entrer dans son histoire, qui parle du bio, de la vie, de la mort, des rapports hommes/femmes, de la chanson, de l'opéra, de tout...