Après l'avoir vu au Clavel j'étais curieux de revoir "Jeffrey" dans une autre salle. J'ai retrouvé les personnages avec bonheur et quelques nouveautés de mise en scène. L'alternance de scènes drôles et émouvantes fait que l'on est toujours surpris sans jamais s'ennuyer. Malgré les thèmes abordés on ne tombe jamais dans la caricature et ce grâce à une interprétation juste et sincère de toute la troupe. A voir ou à Re voir ! # écrit le 09/02/13
On peut ne pas aimer le texte mais on ne peut pas rester insensible à l'interprétation et à la mise en scène. La lourdeur de l'atmosphère, des situations, des non dits et du mal être est superbement retranscrite par la troupe qui arrive a nous tenir en émoi jusqu'au bout. # écrit le 20/10/10
Cette pièce nous fait vivre à travers une famille travaillant dans un cabaret et quelques militants de la première heures, les premières années du XXème siècle jusqu'à la guerre de 1914. Un spectacle très complet avec des chansons, de l'humour, des moments plus graves soutenu par une troupe qui y met tout son coeur. "ça va bien ça va loin ça va vite" comme dit l'une des chansons !!! # écrit le 08/02/07
Après un film raté c'est un vrai bonheur que de retrouver Jeffrey dans cette version 2007. Le manque de moyens est largement compensé par l'enthousiasme de tous les comediens dont certains assument plusieurs rôles. Le rythme est soutenu du début à la fin, le rire et l'émotion alternent dans un seul but : faire comprendre à Jeffrey de prendre son destin en main, de mettre ses peurs (et uniquement ses peurs) au placard et de se jeter dans les bras du beau stéphane. Alors en rythme 1. on réserve 2. on courre au Clavel 3. on prend du plaisir # écrit le 29/01/07
"Respect", et "je suis comme je suis", pourraient être les hymnes de cette pièce très actuelle. On y parle d'assumer sa différence, d'homophobie et d'homoparentalité sans aucun tabou mais sans jamais tomber dans le racollage ni la vulgarité. Tous les acteurs ont su trouver leur place dès la première dans une mise en scène efficace. Les moments chantés du début nous invitent en douceur dans le monde d'Arnold avant d'affronter ses doutes, sa réalité. Eric Guého, Arnold, mène la danse de bout en bout sans jamais en faire trop, jusqu'à l'affrontement final avec sa mère, Rosine Cadoret, un des grands moments de cette pièce. Beaucoup d'émotions mais aussi de rires. Bref indispensable par les temps qui courent ! # écrit le 08/09/05
Les Sea Girls dans Dérapage
Sherlock Holmes et le mystère de la vallée de Boscombe