gronimo35

Vous suivez cet utilisateur Inscrit Il y a 18 ans 21 critiques Ajouté par 3 internautes Ajouter cet utilisateur
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Comédie: Toc Toc

-Une torture !
1/10

Est-ce une pièce de commande ? Une mauvaise blague ? N'espérez pas retrouver le Laurent Baffie de la pièce Sans filtre (qui savait conjuguer sens du rythme et de la repartie). On nous sert ici une caricature de boulevard. Blagues éculées, mise en scène ancestrale, intrigue cousue de fil blanc. On s'ennuie ferme dès le premières minutes et, pourtant, sachez que ce sont les meilleurs moments de la pièce. Ca sent le procédé à plein nez : une personne, un toc, un éventail de blagues qu'on décline, ou plutôt qu'on ressert à l'envi. C'est très décevant ! On plaint beaucoup les acteurs qui doivent servir un texte sans imagination en compensant par des gesticulations pas forcément convaincantes...
# écrit le 16/03/16


Variété Internationale: Straight no chaser

-AMAZING !!!
10/10

Quuelle bonne surprise que ce concert de ce groupe a cappella à l'Espace Pierre Cardin ! Des voix d'une justesse qui ferait rougir la plupart des chanteurs contemporains, une énergie et un sens du show tout américain et une créativité débordante : le groupe mixe parfois deux hits pour comme ce surprenant Thriller/Uptown funk ou ce I'm yours/over the rainbow ! Bonne humeur, générosité ont fait de ce moment un fête de chaque minute. Chaque chanteur a sa personnalité et peut mettre en lumière son talent particulier. On sort de là avec l'envie furieuse de découvrir les enregistrements. Mais, une fois le concert terminé, la magie opère-t-elle encore ? En tout cas, je me réjouis de leur retour à Paris en janvier 2017 !
# écrit le 06/03/16


Théâtre contemporain: Encore une histoire d'amour

-I'm not buying it !
3/10

AÎe, aïe, aïe... Il est toujours cruel de déposer une critique un peu sévère après un événement où les acteurs ont donné le meilleur d'eux-mêmes. Donc, donc, donc... malgré les efforts et la justesse du jeu des 2 protagonistes d'Encore une histoire d'amour, la pièce -traduction de Separation, un succès du britannique Tom Kempinski - ne fonctionne pas. Problème de gap culturel entre la France et l'Angleterre ? On ne croit pas un instant à cette improbable histoire d'amour entre deux personnes dont les réactions et l'évolution nous laissent perplexes... Un auteur anglaise obèse perd 50 kg pour une jeune actrice américaine (atteinte d'une maladie sclérosante)avec qui il entretient une relation téléphonique. Ladite actrice tombe forcément amoureuse de cet auteur qui ne sort plus de chez lui et ne se remet pas du succès de sa première pièce... Ca ressemble à une pièce pour les acteurs (une sorte de Birdman au théâtre). En tout cas, ça ne prend malheureusement pas. Sorry
# écrit le 06/03/16


Comédie: Les aventuriers de la cité Z

-Sympathique
7/10

Il est des spectacles pour lesquels on se dit que la troupe est plus formidable que la pièce. Les Aventuriers de la cité Z en font partie. Quatre acteurs bien sympathiques, qui se donnent à fond pour servir un spectacle un peu potache, inspiré du principe de 2 succès du théâtre parisien : Le Tour du Monde en 80 jours et les 39 Marches. On sourit de les voir passer (sur une scène de 10m2) d'un costume à l'autre, d'un rôle à l'autre et ce sur les 5 continents ! Beaucoup d'énergie, de sueur, de bonne volonté réunis pour le plaisir des spectateurs. Et, quand le rideau tombe, des applaudissements et une vraie tendresse pour ces 4 énergumènes. Avec une pièce encore mieux construite et un texte plus fin, le spectacle serait total ! Saluons déjà ce moment de bonne humeur.
# écrit le 06/02/16


Comédie: Un couple presque parfait

-Elle ne suffit pas la bonne humeur...
5/10

Je ne sais comment qualifier ce spectacle. Là est le problème... "Un couple presque parfait" se présente comme la succession, sans lien entre elles, de scènes de pièces de théâtre ou de films sur la question du couple. Les acteurs sont talentueux, ont une énergie débordante, un enthousiasme touchant, mais on a la sensation d'assister à une répétition ou bien à une Master class de théâtre. La succession de saynètes, aussi bien jouées soient-elles, ne fait pas une pièce... Il y a bien une tentative (très peu crédible) pour essayer de lier ces éléments qui s'enchaînent, mais l'argument est si faible, si fragile, qu'on sourit de l'innocence du procédé. La pièce ne rend pas justice à l'énergie des acteurs que j'aimerais beaucoup retrouver dans des rôles mieux établis. Quelque chose me dit qu'on les reverra...
# écrit le 06/10/15


Comédie: La Dame Blanche

-Mouais...
5/10

Ma conviction est que cette réalisation est vaguement potache et qu'elle ne mérite pas les 19 critiques unanimement dithyrambiques laissées sur le site... Le problème, en effet c'est que cette pièce fonctionne mal. La distribution n'est pas responsable. Certains acteurs sont d'ailleurs très bons (le collègue policier du héros, la vieille femme...). Le hic vient d'ailleurs. La production a voulu créer une pièce de théâtre à partir de ressorts réservés habituellement au cinéma d'épouvante. Et malgré la richesse des décors, les tiroirs qui s'ouvrent tout seuls, les ours en peluche qui s'allument, les tableaux qui s'animent et autres gadgets scénographiques, il manque le principal : une histoire qui vous tient aux tripes ! Le théâtre induit une distance que le cinéma ne connaît pas... Et à la question "peut-on faire un Souviens-toi l'été dernier au théâtre ?", on a franchement envie de répondre NON au sortir de La Dame blanche. On passe sans arrêt d'un décor à l'autre (comme enchainerait une caméra), parfois pour 2 ou 3 malheureuses répliques (pas toujours convaincantes...) et on reste spectateur d'un théâtre qui a l'ambition d'emmener les spectateurs vers l'effroi. On reste pourtant bien assis, vaguement navrés devant certains personnages (la junkie ultralucide manque singulièrement de crédibilité et, mimant un état de transe, suscite plus le rire que la peur). Peut-être le postulat de départ (faire peur au théâtre, comme on a peur au cinéma) aurait-il valu un autre développement : un travail plus approfondi sur la psychologie des personnages, une véritable réflexion sur l'histoire ? En tout cas, et malgré la bonne volonté des uns et des autres, le défi n'est pas relevé pour moi.
# écrit le 15/09/15


Théâtre de l'absurde: La Cantatrice chauve

-On ne sourit pas... on rit franchement !
9/10

Que vous ne connaissiez pas l'oeuvre de Ionesco, ou que vous ayez déjà côtoyé son théâtre, précipitez vous au théâtre Aktéon tant la mise en scène vous surprendra !!! On assiste à un véritable travail de création : chaque mot, chaque réplique, chaque situation a été étudiée pour être mieux réinventée ! Résultat : un tourbillon d'ingéniosité qui nous entraîne du burlesque, à l'absurde en passant par le rire franc et sincère que suscite le spectacle de cette jeune troupe, généreuse et professionnelle, qui semble prendre un plaisir infini à revisiter ce texte (pas si facile) de Ionesco. Au-delà de la créativité de la mise en scène, il faut rendre hommage à leur excellence : mimiques, timing impeccable, chant, déclamation, pantomime... Ils s'acquittent avec une maestria impressionnante de toutes les épreuves qui les attendent. On sourit de les voir s'amuser et on rit de partager avec eux un texte décalé, subversif, qui se moque des jeux de rôle que nous endossons trop volontiers.
# écrit le 15/03/15


Théâtre classique: La Locandiera

-Une belle surprise
8/10

Une adresse pas franchement tapageuse, une salle en sous-sol, une scène de petites dimensions... et pourtant ce fut une excellente soirée ! J'ai fait la connaissance d'une jeune troupe d'acteurs surprenants de justesse (Cie Des Nomadesques), qui, en fin de spectacle s'est annoncée dans Figaro prochainement au théâtre Ranelagh (j'irai pour les retrouver sur scène). Grande maîtrise des tons, postures avec une économie de moyens. La mise en scène est intelligente et créative : les moyens sont réduits mais les détails ont été pensés et chaque accessoire (fût-il imaginaire) apporte à la bonne humeur, la truculence des personnages. C'est donc une très agréable surprise que cette pièce (dont le sujet léger amusera les publics les plus exigeants). Je suis très heureux d'avoir découvert la Cie des Nomadesques grâce à cette soirée !
# écrit le 15/01/15


Théâtre contemporain: Ordet

-Le grand froid du Nord...
3/10

ORDET* Ordet nous entraîne dans une contrée reculée du Danemark... Pour distraire l'ennui des longues journées d'hiver, les autochtones - dont les noms feraient volontiers passer Peter et Heidi pour des titis parisiens - avalent du lexomil par boîte de vingt tout en psalmodiant des prières à tout bout de champ qu'ils s'évertuent à planter et faucher par -15°... Comble de l'infortune, un groupuscule dissident d'I Vrumini s'est installé dans la campagne avoisinante et – les temps sont durs – vient plomber les mariages, baptêmes, communions, enterrements, voire les conversations des riverains. Malgré la présence d'un idiot du village qui se prend pour Jésus et fait l'andouille pendant les bénédicités, on s'ennuie ferme dans le grand Nord. 
Si l'humour ne semble pas avoir pénétré ces régions, l'Amour, lui, parvient de temps à autre à décocher une flèche de son carquois gelé. Voilà-t-il pas qu'Anders Montaigusten s'éprend d'Anne Capuletstör, sa jeune voisine gothique qui sait faire le café comme personne - argument de taille dans cette région frileuse. À cette union, les parents des deux tourtereaux disent d'abord Nej Nej Nej (le non local)... On ne fréquente pas la même église, on prend un sucre et pas deux par tasse... La médiation de la belle soeur d'Anders, Inger (un combiné de Françoise Sagan et de Zézette du Père Noël...), n'y semble pas suffir. Quand tout à coup (c'est une formule) le patriarche des Montaigusten, fâché à l'idée qu'on s'oppose à la volonté de son fiston, retourne sa veste en peau de mouton et entreprend de marier Anders et Anne contre l'avis de tous.
Le sort ne se fait pas attendre : Inger, enceinte jusqu'aux dents, est prise de contractions... Après 13 mois de gestation (le temps passe moins vite là-bas), elle expulse l'enfant avec une force démoniaque. Le bambin atterrit six mètres plus loin, dans l'évier d'en face, en quatre morceaux. On a beau n'être pas loin du pays d'Ikéa, les efforts du médecin restent vains et l'affaire se finit dans un pochon... Honteuse, la mère n'a d'autre recours que de feindre la mort. I Vrumini est bien sûr de la partie et s'égosille à pleins poumons pendant la cérémonie funéraire. Inger n'y résistera pas : dans son beau cercueil en plexi, elle craque au bout de 12 minutes de polyphonies corses. Une surprise n'arrive jamais seule : le demeuré de la famille retrouve ses esprits et tout le monde de s'embrasser chaleureusement en signe d'autocongratulation danoise.

 Pendant près de 3 heures, Arthur Nauziciel sait comme personne rendre palpable l'ennui qui habite ces régions éloignées. Il anime, à peu de frais, l'espace scénique : rideau de douche moiré en fond et, sur les planches, une très belle pièce d'orfèvrerie polonaise ouvragée avec de la fraise de 65, patinée à la main et négociée à prix coûtant. On notera le clin d'oeil audacieux au thriller de Michael Jackson lors de la cérémonie d'enterrement d'Inger. Du grand spectacle !
# écrit le 05/03/14


One Woman Show: Valérie Lemercier

-Grande tristesse
3/10

Quelle déception ! Et quand on y réfléchit d'où venait cette attente ? Du plus loin que je me souvienne, je crois n'avoir vu Valérie Lemercier que dans Milou en mai et Le bal des casse-pieds et le spot publicitaire "et c'est moi qui l'ai fait !". C'est donc uniquement à la faveur du sketch des Nuls, parodie de l'Ecole des fans, que je tenais V. Lemercier pour une comique... désillusion, il me semble, partagée par le plus grand nombre ce soir à l'Olympia. Il fallait des années, à certains artistes pour ce forger une réputation et une respectabilité. Gloire et talent sont à l'image de la publicité : mensonger et éphémères... Vulgarité et obscénité fort applaudie par un public assez peu réceptif. Durée du "spectacle" : 1h15... Aucun plaisir, aucun échange. Grande tristesse
# écrit le 05/03/14



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