Comme beaucoup de pièces de théâtre basées sur une histoire vraie, elle a le mérite d'être sincère, intime et touchante. Un beau moment d'humanité, et une belle leçon de vie. # écrit le 07/06/19
Une belle performance que ce seule en scène traitant d'un sujet grave mais dont il est nécessaire de parler encore et toujours, surtout avec l'actualité politique et la montée en puissance de l'extrême droite... Une comédienne seule en scène qui bouge à peine, mais qui explore son corps de mille façons; pas une seule musique, mais des cris, des sons qui émane de la bouche de la protagoniste qui parvient à elle toute seule à nous faire revivre l'horreur d'Auschwitz et des camps de la mort... Un théâtre simple, vrai, sans artifice, qui tient son plus beau rôle: celui de veiller au devoir de mémoire, de témoigner, et de nous amener à réfléchir sur notre humanité. A voir, nécessairement. # écrit le 28/05/19
Le texte est d'une beauté saisissante, l'interprétation du comédien est impressionnante, la mise en scène est d'une sobriété renversante... Courrez! Foncez voir ce spectacle important et nécessaire. La déshumanisation de cet homme aux prises avec sa rage, ses peines et ses démons. Une grande réflexion sur la nature humaine, sur les êtres, sur leurs tourments, sur la haine et les souffrances, sur toutes les parts d'ombres qui font que l'Homme n'est plus... Une pièce humaniste comme il est rare d'en voir. C'est ce genre de spectacle que nous devrions voir sur les scènes nationales. C'est ce genre de spectacle qu'il est important de défendre et d'entendre. Bravo pour ce bel engagement! On peut parler de chef d'oeuvre. (Petite remarque très personnelle, et c'est la metteure en scène que je suis qui parle: si la musique était en live sur scène, jouée par exemple par un magnifique jazzman saxophoniste ou trompettiste, la pièce atteindrait des sommets!) # écrit le 24/02/18
Un beau spectacle, simple et poétique, sur le langage, la parole, la liberté d'expression... Mais aussi sur le pouvoir du silence et ce qu'il raconte. A voir! # écrit le 04/11/17
Nathalie Boitel
Malik Fares