J'ai trouvé la justesse des actrices dans le jeu touchante. Le décor simple et épuré permet de se concentrer d'autant plus sur les émotions et expressions de chaque personnage. Je conseille cette pièce accessible à tous (plus un public adulte) et dans un cadre qui fait voyager : la cartoucherie. Chapeau les artistes ! # écrit le 11/05/15
Du début à la fin, Jarry nous emmène dans son univers loufoque et hors limites. Très généreux avec son public, on se sent rapidement tous complices. L'ambiance bon enfant grandit et on se sent touché par son personnage un peu ridicule. Même si le cliché du gay pleunichard est omniprésent, cela parle de l'altérité au sens global et chacun peut s'y reconnaître. Belle maturité et intelligence émotionnelle (terme à la mode galvaudé). Trop conformistes, s'abstenir ! Merci pour ce bon moment :) # écrit le 15/03/15
Expérience loufoque et sympathique pour passer une heure de détente et d'auto-dérision (si on se reconnaît dans quelques clichés bien sûr). J'aurai aimé en savoir un peu plus sur l'homme derrière l'acteur. Son parcours, son ressenti... C'est un beau moment de partage en tout cas avec différentes nationalités présentes dans la salle ! # écrit le 19/01/15
Très beau tableau dansé retracé par ces six danseuses aux styles et univers singuliers. Très belle énergie sur scène ravivée par les couleurs portées par ces dames. Dans cette salle intimiste, les spectateurs sont au plus près des émotions de celles qui portent leur message. Chapeau bas ! # écrit le 17/11/14
Un jeu d'acteur incisif et burlesque qui se prête parfaitement aux personnages et s'attache à apporter une touche de modernité à des classiques du genre théâtral. Névroses et vices ordinaires (ou moins) sont mis en exergues dans ses 4 pièces, qui sont loin d'être lisses. # écrit le 05/09/13
J'ai bien aimé l'humour décalé du spectacle, notamment avec la poule que Florent Peyre interprète avec brio. J'ai eu l'impression que ce one man show s'adressait à un public qui regarde la télévision car il y a quelques références qu'on ne peut pas comprendre sinon. J'ai imaginé l'acteur dans des films humoristiques et aimerais beaucoup le voir dans un registre plus dramatique au théâtre ! # écrit le 22/12/12
Un pièce classique accessible à tous; Nul besoin d'être un amoureux de Shakespeare pour apprécier et comprendre le déroulement des évènements; Sur scène, une ribambelle de comédien(nes) qui s'approprient les personnages d'un "conte en hiver" avec finesse. Mention spéciale au jeune homme qui joue le rôle de Mamillius (fils de Léonte et Hermione). Le théâtre des Loges est un lieu plein de charme, qui dégage une atmosphère apaisante... # écrit le 12/12/10
Pièce familiale qui attire un public de 7 à 77 ans. Pas d'humour potache mais des jeux de mots maniés avec finesses par une troupe d'acteurs détonants. J'ai surtout apprécié le personnage de l'écrivaine qui joue l'absurde d'une manière remarquable : elle donne tout ! Certaines péripétie étaient un peu trop convenues à mon goût; ce qui n'enlève en rien au professionnalisme de cette mise en scène... # écrit le 08/06/10
Je suis venue voir Comic Factory par curiosité avec une amie. Je pense qu'il faut y aller dans un état d'esprit "ouvert" et "sans aprioris" car les comiques qui défilent sont vraiment de tous genres. Il faut savoir que l'interaction avec le public est omniprésente et l'animateur n'hésite pas à faire intervenir des gens du public sur la scène pour les "mettre à l'épreuve"... Si vous avez du temps et que vous voulez encourager les jeunes talents à percer dans le milieu du spectacle, allez-y ! De plus, les comédiens sont tous très accessibles puisqu'à la fin vous pouvez aisément discuter avec eux... # écrit le 14/05/10
Je conseille cette performance théâtrale à tous ceux qui aiment se sentir imprégnés par la vie intérieure des personnages. Les propos sont parfois crus mais disent la vérité. Pas de faux semblants avec " ça " ! Une pépite de comédiens se donne corps et âmes dans une danse qui exalte la violence des sentiments avec toute la complexité et les contradictions que cela implique... Au-delà du sujet premier de la pièce, les souffrances exprimées touchent avant tout à la " fêlure intérieure " parfois indescriptible et inavouable, un sujet en somme universel ! # écrit le 11/03/10
Charles Nouveau dans L'expression de mes sentiments distingués
Un père à aimer