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-La recherche de la laideur à tout prix Ce que réalisent Laurence De Magalhaes et Stéphane Ricordel qui sont à la tête du Monfort depuis quelques années est prodigieux. Je ne compte plus les spectacles qui m'ont marqué, en bien depuis "Le mythe de Sisyphe" de Fragan Gehlker à l'époustouflant Sébastien Barrier et tant d'autres. Faut-il pourtant accepter les échecs, les ratages? Tout dans ce soi-disant spectacle intitulé "Les palmiers sauvages" est moche et bidon : les voix sont bidon tant elles sont sonorisées, la nudité est bidon tant elle est imposée, les rares paroles sont bidon puisqu'on ne les entend pas, pardon mais les comédiens sont moches et ils nous imposent leurs contorsions. Et le nom de Faulkner lui-même, ce nom comme celui de Conrad ou de Julien Green associé depuis toujours aux racines aériennes des mangroves, ce nom est sali. Ces centaines de jeunes gens qui se pressent au Théâtre Monfort et c'est heureux, je me demande, que vont-ils penser de cette vaine débauche? Moi je me suis tiré après la 2ème partie appelée pompeusement je crois adagio, je n'en pouvais plus. Il en faut de la témérité, croyez-moi, pour s'extraire d'un veule consensus. Jacques Faule # écrit le 07/12/18
-Luchini écourte le spectacle Surprise hier soir mercredi 4 novembre 2015 : à 20h10, l'artiste ne termine pas la fable de la Fontaine "Conseil tenu par les rats", tourne les talons en bredouillant un "Au revoir. A bientôt", part sans saluer le public pourtant majoritairement conquis. Il ne reviendra pas. Désemparé d'abord, on se frotte les yeux, un peu vexé ensuite, on se sent éconduit. Conduite inexplicable. Malaise ? Caprice ? A coup sûr amère déception. Jacques Faule jacques.faule8@orange.fr # écrit le 05/11/15
-Vulgaire On se demande ce que vient faire cette pièce, "Les ambitieux", dans un théâtre subventionné. Par ses situations grivoises, graveleuses, scabreuses la pièce n'aurait guère sa place que sur les boulevards. Coucheries, cocuages, caricatures grotesques des personnages, misogynie, acteurs qui crient, comme ce théâtre semble désuet. Que vient faire "l'entreprise" -prétendu sujet de la pièce- dans cette galère ? C'est simplement désolant et pour tout dire vulgaire. Et s'il-vous-plaît qu'on nous dispense de ces programmes dithyrambiques nous vantant le style et la "cruauté" de l'auteur. Convenu, surfait, surjoué, quel monde étriqué et ranci. Pauvres comédiens obliger d'interpréter ce texte peu ragoûtant. # écrit le 10/10/15
J'étais hier aux Archives. Quel concert magnifique ! J'ai particulièrement apprécié le 2ème mouvement de la sonate de Ravel, "Blues", sonate et mouvement analysés par la violoniste de Ravel, Hélène Jourdan-Morhange (à qui la sonate fut dédicacée), dans son livre de souvenirs, "Ravel et nous" (1945) (*) J'ai goûté aussi hier la présentation du concert par M. Laurent Bureau et ses paroles de bienvenue adressées au public. Bravo aux artistes virtuoses, remerciements aux chers si peu chers bénévoles. Encore toutes mes félicitations pour la qualité de l'organisation. # écrit le 15/02/15 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
-"Que le ciel vous tienne en joie !" La fameuse apostrophe est dite par l'huissier de justice, un insolent M. Loyal à l'épilogue de la pièce. C'est l'Atelier Jacquot qui nous tient en joie pendant une heure quarante : d'excellents comédiens évoluant à l'aise sur un tréteau de foire et qui savent dire leurs douze pieds sans jamais nous les casser. Bravo. # écrit le 07/04/13 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com