@176692

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Duos / Trio: Ils nous ont relâchés c'matin

-Totalement nul
1/10

Un spectable comique...pas drôle. Du tout. Lourdingue, limite énervant. A éviter absolument.
# écrit le 11/08/03


Comédie: Sarah

-Classieux
7/10

Sarah est un joli spectacle, nostalgique et brillant, illuminé par un comédien de génie, tour à tour timide et sûr de lui, avec un talent comique fou et une présence incroyable : Robert HIRSCH.
# écrit le 15/05/03


Pop / Rock / Folk: Jean-Jacques Nyssen et son orchestre dans sa chambre - Philippe Bresson

-Nyssen est un ptit génie
8/10

D'abord il y a eu le troisième album de Clarika, La fille tu sais, avec notamment son single Les Garçons dans les Vestiaires. Ensuite, le Moloko, déjà, ça sonne sympathiquement Orange Mécanique, comme nom. On imagine l'endroit un peu kitsch, à la décoration chargée. En fait, pas si chargée que ça. L'entrée fait un peu penser à un ancien bordel reconverti (statue généreusement pourvue en guise de porte-manteau, appliques tendance Bistro Ro(u)main au mur …), mais la salle est plutôt sobre, avec ses chaises alignées pour l'occasion, et sa mezzanine déserte puisque ça se passe en bas. Vers 8h et demie débarque sur ce qui va servir de scène (en l'occurrence un recoin aménagé au fond du bar) un certain Philippe Bresson, sorte de dandy précieux qu'on croirait sorti des écuries Tricatel. Le flyer indique qu'il fait de la pop bourgeoise, ce qui peut se traduire par musique bricolée avec 2 Euros, un clavier, des samples et des loops, le tout emballé dans une sorte de superficialité sophistiquée. On ne sait jamais quand le garçon est sérieux et quand il ne l'est pas, prenant des manières affectées, des poses nonchalantes, buvant entre les chansons quelques gorgées d'un nectar quelconque posé à ses côtés. Entre deux morceaux, il nous explique d'une voix maniérée et quelque peu langoureuse qu'il a demandé au physio de ne laisser entrer que les beautiful people (jeunes, beaux et fringants selon ses propres mots), et aussi qu'il a dans une vie antérieure travaillé en institut de beauté. Après l'acteur-coiffeur (Fabriiiiiice !), on a donc le droit au chanteur-manucure, un nouveau créneau (seule contrainte : connaître ses chansons sur le bout des ongles). Une sorte d'extra-terrestre de la chanson, avec des textes sur les grandes surfaces ou les manucures, des extraits de dialogues de vieux films samplés, des histoires extravagantes sur Catherine D. et son chien ... Sur le ton du plus grand sérieux et de la confidence à fleur de peau, le zigue balance des loufoqueries stupéfiantes …bancal mais à découvrir, la pop bourgeoise, faut voir … Jean-Jacques Nyssen fait une première apparition à la trompette sur une des chansons de Philippe Bresson. Mais c'est affublé d'un caméscope posé sur un casque de VTT qu'il reviendra ensuite pour entamer son show. Le caméscope, c'est pour filmer, pour le DéVéDé. Sauf que s'il le garde sur la tête, c'est pas pratique, alors il va le refiler à une sorte d'assistant. Et comme il y a une télé à ses côtés, on peut voir en quelque sorte en direct le making-off du DéVéDé. Dès son arrivée, Nyssen s'installe dans son propre univers : un personnage fortement décalé, au physique qui évoquerait de loin Denis Podalydès, faisant de la musique de sa chambre à l'aide de son synthé, de sa guitare et de sa trompette. Des chansons très guillerettes (un hommage enthousiaste à David Copperfield, avec en prime une disparition de Tour Eiffel, à grand renfort d'effets pyrotechniques, comme ça, en live, si) ou sentimentalement tristes, des chansons animalières (la Méduse, ou encore le Chien, accompagné d'un magnifique clip), Nyssen chantonne, hurle, reprend Staying Alive en français ou encore un I Can't Stand Losing You mémorable, toujours adapté dans notre belle langue, après le récit bouleversant d'un voyage linguistique en Angleterre (fou rire garanti). Et il raconte des histoires, ce drôle de bonhomme qui vous embarque dans son univers foutraque où voiture se dit auto. Les musiques sont pop et futées, les textes drôles et touchants, et le personnage vaut vraiment le déplacement, quelque part entre Souchon, M et Pascal Parisot. A noter : une absence totale de look pour ce talent à découvrir, ma foi.
# écrit le 28/04/03




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