De l'obscurité où nous sommes plongés, émerge tout à coup une voix profonde, comme venue d'ailleurs : "Au début, il n'y avait rien..." Béatrice raconte. Elle capte son auditoire tout au long d'un récit qui va se dérouler dans un silence impressionnant. Il s'agit d'un conte musical, comme cela fut annoncé. En effet, texte et musique alternent, ou se côtoient et se renforcent. Le timbre particulier des instruments de Ruben évoque l'Orient et la voix pure, subtile, de Layla ajoute encore à l'émotion. # écrit le 08/04/17
Un huis clos qui retentit du cri des oiseaux de mer, des sonorités rugueuses et poétiques du gaélique proféré par Oona l'insulaire et des propos échangés par trois personnalités féminines qui s'affrontent, s'apprivoisent, deviennent complices... # écrit le 01/05/13