Ses critiques
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 -Une intrigue singulière 9/10 Autre époque, autres moeurs, nous voilà transportés en des temps pas si lointains où une maman célibataire était honnie et appelée fille-mère... L'auteur, servi par une mise en scène sobre et efficace, fait en sorte que les protagonistes de cette enquête qui nous tient en haleine révèlent leur état d'esprit aussi bien dans le cynisme que dans l'humour. L'interprétation est excellente. Merci et bravo ! # écrit le 13/01/18
|  -Anton Tchekhov reste d'actualité 9/10 Un texte qui a du sens, qui est profond, humain. Quel talent ce Tchekhov ! Et que de talents rassemblés pour donner vie à cette histoire ! Une ingénieuse mise en scène rythme avec vivacité les visites du docteur dans l'atmosphère tendue de cette maison où règne pourtant l'ennui dévorant de la monotonie du quotidien tandis que, comme dans des sables mouvants, s'enlisent les élans et les espérances de chacune et chacun. Une adaptation qui va à l'essentiel : le coeur. Bravo et merci ! # écrit le 06/10/17 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
|  -Fabuleux ! 10/10 Ne manquez pas l'une des dernières représentations de cette comédie Aux Déchargeurs ! "À travers l'humour, c'est la position de chaque membre dans le couple qui se joue. Chaque comédien, joue plusieurs rôles, et ils s'en sortent très bien. Sarah Fuentes [auteure et interprète] est débordante de vitalité et d'énergie. Enfin, les costumes ne manquent pas de créativité. Bravo à tous!" (Laurent Favriot) Je partage avec enthousiasme en ajoutant une pensée amicale et admirative à Maud Imbert qui m'a à nouveau ravi ! Oui, les hommes sont formidables également ! Encore bravo ! # écrit le 23/04/17
|  -Slam-opéra ou opéra-rock 10/10 Excellent ! Une intrigue dont le texte des plus actuels fait la part belle à la rime et aux images qui flashent l'esprit des spectateurs. Ainsi ce monte-en-l'air qui "cambriole et cabriole sur les toits"... C'est top ! Des chansons qui rythment la narration en évoquant parfois les performances d'une Élisabeth Wiener au côté de Jacques Higelin ou d'une Nina Hagen... Du suspense et des surprises... Je ne vous en dis pas davantage. # écrit le 01/11/16 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
|  -Vive le théâtre 9/10 Après tous les commentaires élogieux j'ajoute volontiers le mien, le nôtre puisque nous étions deux : c'est bien ! Nous ne voulons cependant rien divulgâcher ; allez-y, vous verrez ce spectacle vivant singulier où évoluent des personnages qui redoutent d'être contaminés par des morts-vivants... il reste huit dates seulement dans cette quinzaine de juin pour découvrir leur aventure. Personnellement, avec un peu de recul et un soupçon d'ironie, je vois aussi dans ces héros ordinaires l'image des compagnies théâtrales cernées par le multimédia et par toutes les chaînes de télévisions qui abreuvent leur public de rediffusions, les productions "fraîches" restant l'apanage d'une poignée d'entre elles... # écrit le 09/06/16 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
|  -Du rêve à la réalité 8/10 Une belle interprétation pour ce texte plein de force et de style ! # écrit le 20/12/15 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
|  -Admiratif ! 8/10 J'ai plutôt souri au début, j'ai ri souvent, j'ai aussi et surtout été admiratif des prouesses physiques de cette fine équipe. # écrit le 16/06/15
|  Théâtre contemporain: Démons
-Un quatuor infernal 8/10 Pour cette pièce où l'amour est décrit comme une guerre d'usure, nous avons été fascinés par un excellent quatuor au service d'un texte glissant du sous-entendu à l'explicite, de l'humanité de façade à la rage bestiale... Nous ne pouvons que saluer les choix artistiques ainsi que les partis pris de mise en scène qui sont donnés à voir et à entendre : chacune et chacun pourra en interpréter les détails selon sa sensibilité et son humour. Comme trop souvent les commentaires risquent de désamorcer la surprise des spectateurs nous sommes allés nous plonger tels quels dans l'univers éminemment caustique de Lars Norén en n'ayant lu que le résumé — déjà fort éloquent — du metteur en scène. Ce n'est qu'après coup que nous avons apprécié les critiques avisées de Camille Hazard (Un Fauteuil pour l'Orchestre), Christian-Luc Morel (froggy's delight), THEATAUTEURS, Françoise Krief (Planète Campus), de Jean-Luc Jeener (Figaroscope) et même celle en anglais signée par Erik Martiny (Litro)... Tout aussi unanimement, le public a chaleureusement applaudi les remarquables interprètes de ces deux couples. # écrit le 30/05/15 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
|  -Téléportés en 1886 8/10 Nous connaissions dans les grandes lignes la vie de Louise Michel, idéaliste impénitente, humaniste chérissant la liberté, l'égalité et la fraternité, qui avait déclaré : "Si l'égalité entre les deux sexes était reconnue, ce serait une fameuse brèche dans la bêtise humaine." Nous nous sommes retrouvés face à elle ! Par l'ingénieux parti pris de l'auteur et du metteur en scène nous sommes transportés — téléportés pour ainsi dire — en ce mois de janvier 1886 et nous partageons en camarades ses élans du coeur, ses confidences, sa peine d'être calomniée et sa joie d'être encouragée tant par Victor Hugo en personne que par la pensée militante d'Auguste Blanqui... Et c'est une Louise Michel transfigurée que nous applaudissons finalement en la personne de Clémentine Stépanoff. # écrit le 25/04/15
|  -Pauvre Victor 2/10 Quel beau texte pourtant et quelle situation pathétique ! Les hommes sont assez convaincants dans cette pièce mais la reine jouée si trivialement ne l'est guère... Évoquant davantage une caricature de "marchande de poissons", se laissant aller à des élisions peu flatteuses ("Je veux pas qu'y meure !"), elle perd toute grandeur et toute noblesse (d'âme et de rang). Le metteur en scène offre pourtant cette citation: "Quelle est en effet la pensée que je tente de réaliser dans Marie Tudor ? Une Reine qui soit femme. Grande comme Reine. Vraie comme Femme. " Victor Hugo, 17 Novembre 1833. L'idée d'un musicien armé d'une guitare électrique serait plaisante si elle ne servait pas de prétexte à une " danse endiablée " aussi peu féminine qu'incongrue. Pauvre Victor. # écrit le 19/03/15
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