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Théâtre contemporain: Ensemble et séparément

-Subtil et fragile
Un face à face tout en nuances et en sensibilité où affleurent tous les sentiments qui animent les relations entre un homme et une femme : amitié, humour, amour, dépit, nostalgie, écoute, inquiétude, espoir... Chacun peut se retrouver dans cette histoire où le passé n'alourdit jamais la fraîcheur d'un présent plein de promesses. Les acteurs sont authentiques comme de vrais enfants jamais grandis sur lesquels le temps n'a pas de prise. Simple et émouvant.
# écrit le 11/10/13

Comédie: Asseyez-vous sur le canapé, j'aiguise mon couteau !

-Loufoque et pétillant
Une partition sans faute interprétée avec un plaisir visible par quatre comédiens virtuoses qui se régalent à se chatouiller dans tous les sens du terme, en égrenant des plaisanteries salaces. Mais aussi une vraie histoire pleie de références jubilatoires avec une comtesse obsédée qui tente de manipuler jusqu'au sang... son monde pour obtenir enfin la satisfaction de son voeu le plus cher : être la plus belle ! Oui, ça fait rire, mais pas seulement.
# écrit le 08/07/12

Théâtre classique: Les Caprices de Marianne

-Dense et intense
Un climat très envoûtant est d'emblée imprimé par la musique et les voix. Le texte de Musset est dit et interprété avec justesse par des comédiens possédés par leurs personnages. Bravo !
# écrit le 12/09/09

Seul(e) en Scène: Nicole Lascar dans Dérapages incontrôlables

-jubilatoire et grinçant
une actrice unique dans le paysage du one-woman-show, dotée d'une énergie folle, une auteure qui navigue à vue entre humour et sarcasme, pointe les travers de ses congénères. Au final un spectacle à cent à l'heure qui laisse des traces. On en redemande !
# écrit le 25/08/07

Comédie: Jeux d'rôles

-tendresse et finesse
Surfant sur la vague du souvenir, jonglant avec les sentiments, osant défier les attendus trop attendus du destin, ces deux-là nous font rire et souvent nous émeuvent. Sur un texte de la regrettée Martine Feldmann, ils stimulent nos regrets pour en faire des espoirs pour n'avoir jamais à les transformer en remords. Bravo !
# écrit le 06/06/05