Comédie satirique: Non, je ne m'appelle pas Michel Drucker

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C'est du brut, taillé à la serpe, comme souvent avec Jean-Pierre Beauredon. C'est sa signature. Denis Rey toujours aussi talentueux. Un regret: ne pas être allé discuter avec le metteur en scène car la pièce regorgeait de symboles, ceci pour mieux en saisir la substantifique moelle.Le combat, fleuret et boxe, je vise et je touche, les explosions , le transpalette monte, descend et déplace des caisses-cages, monter et descendre la lumière, la singularité du texte sténo, ça existe ou pas,l'amour sans corps à corps, tout à distance, pas conte/compte-fleurette non plus. Quant à Michel Drucker, forcément la pièce n'est pas jouée que le dimanche ?
# écrit le 22/11/13