Ce qui nous est donné ici c'est une analyse "sentie" aussi bien par l'occupant du fauteuil que l'occupant de la scene. Olivier nous transmet les émois et les affres dans son exploration de l'autre, l'autre Brel méconnu à la fois peintre et poète, colossale et impétueux. Il nous livre accompagné de Sylvie violoncelliste et François pianiste un récit jonglant avec les ressacs et les courants le soir où l'aube exaltée ainsi qu'un peuple de colombes a cru voir passer l'homme nommé Brel... Un hommage profond et poignant décrit avec une verve exemplaire. Bravo à toute l'équipe. Brigitte Bobillier # écrit le 14/12/18
-Ceux de 14 Des mots lourds de signification qui nous transposent dans un univers de boue de feuilles mortes de consciences torturées. Des hommes en proie aux effroies de la guerre vulnérables à toutes conduites barbares. Avec ces hommes tendres ces hommes profondément humains pour qui l'existence devenait une humble expression dans un enfer dévastateur. Nous en sortons marqué comme par un fer rouge de mots si justes en accord avec une vérité, celle de la sale guerre magistralement interprèté par son auteur. Un grand Bravo ! Brigitte # écrit le 20/03/15