@324552 Vous suivez cet utilisateur Inscrit depuis longtemps 3 critiques
Ses critiques -Quelle bonne soirée ! 9/10 Je me disais que cela allait être instructif.Bien sûr que cela l'a été mais en plus il y avait toute une recherche de "chorale". Imaginez une chorale non pas de chant mais pour des textes. C'était surprenant. Un mélange de voix très astucieux, des sonorités différentes. Ce ne sont pas des lectures classiques. Les 5 premières minutes, vous vous dites : c'est étrange. Ensuite vous entendez les mots, l'histoire. Toute une approche a ccapella d'un ensemble vocal. Mème le lieu : un café littéraire où l'on se sent chez soi. # écrit le 04/03/06 , a vu cet évènement avec BilletReduc.com
| -juste les mots 10/10 Pourquoi faire plus que les mots ? Ici la réponse est : les mots suffisent à eux-même. Et c'est vrai.C'est un texte envoutant, mystèrieux. Que dire de images décrites ? Que dire des émotions ressenties ? Dante vous le dit dans son texte : je n'ai pas assez de temps pour tout vous décrire. Il ne s'agit pas d'une visite touristique d'un site nommé "Enfer", il s'agit d'un voyage où l'angoisse est à chaque tournant. C'est un texte merveilleusement bien servi par des voix harmonieuses et entremêlées, réhaussées par la musique d'une mandoline, qui vous conduisent aussi sûrement dans l'enfer que Virgile emmène Dante au milieu de sa vie (Nel mezzo del cammin di nostro vita...) # écrit le 04/02/06
| -Mauvais 2/10 Sans être trop dur, rien ne va plus en ce bas monde : je ne connais pas ce texte en russe mais déjà on entend toute la faiblesse de l'adaptation (il est difficile d'être traductrice/adaptatrice, metteur en scène, costumière, décoratrice) ; les comédiens sont livrés à eux-mêmes, ils font ce qu'ils peuvent, les pauvres ; si le décor s'en sort à peu près (les comédiens se prennent les pieds dans les tapis, 3 serpentins qui se battent en duel, et j'en passe...) que dire des costumes qui sont vulgaires (la metteur en scène russe montre-t-elle le bon goût russe ?). Parlons musique : elle est si forte qu'on entend pas les paroles : cela devient un brouhaha ; on ne sent pas de profondeur dans les relations, tout est d'un superficiel désolant et désertique aussi glacé que le lieu qui accueille ce spectacle. Amener sa couverture ou sa doudoune n'est pas un luxesuperflu mais nécessaire # écrit le 24/01/06
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