POISSONS ROUGES ou la PIÈCE touche-coeur !! Une pièce qui nous emmène dans l'entre deux, dans la réalité d'un passé présent ou d'un présent passé, de la réalité d'une ombre à un imaginaire, qui (impressionnant texte de Damien Sobieraff ) nous fait vibrer du réel poétique au poétique irréel au fil du jeu des acteurs fort, émouvant, bouleversant ! Où toutes les MISES EN 🤩 (scène, espace, lumières, musique live) cisèlent cet objet théâtral, d'un écrin envoûtant, où émotions et magie font parties du voyage ! # écrit le 08/07/23
Ne pas s'arrêter aux apparences, s'enfermer dans des "réalités" et partir à la conquête, voilà la magie des possibles proposée au jeune public et aux yeux des adultes bienveillants. Merci aux artistes pour ce moment d'oubli 😉 # écrit le 16/01/22
L'étrangeté de l'univers, pour qui n'est pas familier, n'est qu'un élément de plus qui attise l'intérêt. La lumière peu à peu se fait sur une insolite histoire qui révèle bien des parallèles d'autres univers. Le jeu délicatement posé, par clowns interposés, nous captive jusqu'à l'issue, de ces noirs-clairs obscurs, et de toutes leurs possibles symboliques, ou pas, car pur ou upgradé, tout se prend avec grand plaisir et grand respect pour l'imagination de l'écrivain, du metteur en scène et du jeu des interprètes ! # écrit le 19/07/18
Difficile d'écrire mais je m'y oblige Pour ne pas risquer de perdre le fil émotionnel. Exprimer son ressenti à l'issue de cette pièce est très particulier Comme toutes ces pièces fortes, dérangeantes, qui nous donne à voir et à entendre des "choses" dures, violentes, embarrassantes, tues, De l'autre côté du miroir. Derrière les masques de l'histoire. Donc dire, bravo, excellent, quel texte ! C'est un peu valider cette histoire. Ça semble inopportun. Et pourtant. Le texte est très fort, la mise en scène Et les acteurs le révèlent dans l'écrin D'une lumière ténue. De clairs obscurs. Ajustés au sombre de l'histoire. Sous couvert d'un bruissement de prières. La souffrance, la crudité des souffrances. Et leurs ondes de choc. Impressionnant ! Impressionnants !! # écrit le 07/07/18
Un p'tit conseil, pour se délecter à fond, faut surtout y'aller à jeun car les neurones sont secoués, machouillés et gentiment malmenés. L'atterrissage se fait (ou pas) au cours du développement qui nous entraîne dans les méandres des subtilités des mots décomposés mis en lumière dans tous leurs possibles, dans toute la jouissance de leurs multiples facettes. On suit le fil de ces circonvolutions avec délectation et plaisir. Ces mots qui passent, mots de passe, qui nous mettent en connivence avec l'artiste. On aimerait appuyer sur "stop" "marche arrière" et "tout doucement" pour laisser à nos synapses le temps de faire face à cette avalanche mais la jubilation serait tronquée car elle réside aussi dans ce surf infernal et incontrolable : ) # écrit le 18/11/17
Purée ! Pourtant on sait que Michalik est capable de nous emmener en voyage, rien que pour l'exemple "le porteur d'histoire" nous avait déjà envoûté-embarqué. Mais là il nous prend de nouveau au dépourvu de ce récit à tiroirs magistral qui délite les frontières entre présent, passé, théâtre, réel, espace scénique, et imaginaire. On en ressort troublé, ému. Ah y'a pas photo je partage cet univers créatif ! # écrit le 12/07/17
Un grand écart maîtrisé, où l'artiste tout en nous restituant les multiples rôles, nous donne à savourer l'envers du décor d'un comédien démuni de son projet initial. # écrit le 12/07/17
Comment ouvrir l'esprit sur ceux qui l'endorme, le manipule en mettant en lumière Edward Louis Bernays, son système, ses applications, ses ramifications qui étranglent peu à peu notre libre-pensée. Une mise en scène efficace servie par des artistes dont le détachement et l'analyse clinique fait frissonner notre prise de conscience # écrit le 12/07/17
Ça se corse, car comment résumer ce duo virtuose qui nous a embarqué dans un numéro vif argent, aux expressivités multiples. Captivés, on se prend tout, le touchant, l'animé, l'émouvant, le pittoresque, le rire, servis par une créativité multi masques où chants, gestuelles, se mélangent allègrement, magistralement délivrés par deux artistes dans une osmose fascinante. # écrit le 10/07/17
Les Desperate Housemen se marient !
Dhyepha dans Comment épanouir la diva en soi en respectant les innocents