Il ne reste déjà plus qu'une date pour cette pièce... et heureusement que nous ne l'avons pas manquée !! Les deux artistes portent l'intriguent avec un jeu authentique et poignant, déployant une palette d'émotions, nous emmenant du rire aux larmes... en n'a qu'une envie, se laisser emporter avec eux. Le texte, que je ne connaissais pas, rend splendidement hommage à Molière, les alexandrins sont préservés et la rime est fluide... Ce n'est vraiment que du bonheur et le temps passe très (trop) vite ! Une pépite du Festival du Off # écrit le 29/07/22
Quel plaisir de retrouver le texte de Molière avec une mise en scène fine, fluide et moderne, ainsi qu'une interprétation qui rend hommage à Molière ! Un très agréable moment du début jusqu'à la fin... il faut vite se se pencher d'aller voir cette pièce avant la fin du festival ! # écrit le 29/07/22
Une pièce à aller voir, surtout quand on connaît déjà le texte de René de Obaldia... et qu'on a envie de voir quelque chose de di-ffé-rent ! Les comédiens montrent leur grande maîtrise de la scène dans cette version décalée et novatrice. Quel bel hommage à cet auteur de l'absurde, qui aurait certainement salué les risques pris dans la mise en scène, tant au niveau des costumes que des intentions de jeu... C'est une très bonne soirée à passer, et l'on voudrait même que le spectacle dure plus longtemps encore, tant l'exercice est réussi. Un très grand bravo à Patrick Rouzaud et Mahmoud Ktari que l'on souhaite revoir sur scène ! # écrit le 01/10/18
Un spectacle à voir, et à revoir ! Cela fait partie de ces "seul en scène" on l'on oublie qu'il n'y a qu'une seule personne devant nous. Par la magie de l'interprétation, de la mise en scène et du texte, nous sommes transportés dans un univers peuplé de monde : les habitants de St Malo, le Capitaine, les nobles, les marins, et les fugitifs... C'est un texte sans concession et toujours si actuel ; si vous êtes bouleversé, chahuté ou glacé à la fin de la représentation, c'est bon signe ! A voir et à revoir, je pense bien y retourner ! # écrit le 14/03/18