@508569 Vous suivez cet utilisateur Inscrit depuis longtemps 1 critique
Ses critiques -Elisa "Alice au pays de nous-mêmes" 10/10 Elisa c’est « Alice au pays de nous-mêmes » ; nos rencontres, élans, exubérances, nos doutes, nos malaises aussi, car la vie nous éclabousse de toutes ses couleurs (… comme elle nous en fait voir !). Du clown blanc à l’Auguste bariolé, « Elisa-Emilie » nous embarque dans ses aventures qui sont aussi les nôtres. Puissante, affaiblie, comique, angoissée, toujours frémissante, en excès de peau ou à fleur de peau, elle est là spécialement pour nous et pour ce beau garçon aussi, Yan, souffleur de nouvelles inspirations et compagnon du voyage. La mise en scène de Céline est taillée sur mesure : vêtements vides, objets familiers s’incarnent sous nos yeux émerveillés ; on songe Lamartine « Choses inanimées, avez-vous donc une âme, qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ». Quant à l’espace, si réduit pourtant, il va du ciel jusqu’au fond d’un gouffre ; l’heure qu’on y passe va des rêves à la déraison, des souvenirs aux espoirs et, comme une enveloppe, cette idée qu’au-delà des valeurs du monde qui circulent entre les humains, la plus précieuse est notre propre vie, si, et seulement si elle possède « quelque chose » qui la dépasse, qui la transcende. Elisa, bienvenue « au pays des merveilles ». Elisa c’est « Alice au pays de nous-mêmes » ; nos rencontres, élans, exubérances, nos doutes, nos malaises aussi, car la vie nous éclabousse de toutes ses couleurs (… comme elle nous en fait voir !). Du clown blanc à l’Auguste bariolé, « Elisa-Emilie » nous embarque dans ses aventures qui sont aussi les nôtres. Puissante, affaiblie, comique, angoissée, toujours frémissante, en excès de peau ou à fleur de peau, elle est là spécialement pour nous et pour ce beau garçon aussi, Yan, souffleur de nouvelles inspirations et compagnon du voyage. La mise en scène de Céline est taillée sur mesure : vêtements vides, objets familiers s’incarnent sous nos yeux émerveillés ; on songe Lamartine « Choses inanimées, avez-vous donc une âme, qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ». Quant à l’espace, si réduit pourtant, il va du ciel jusqu’au fond d’un gouffre ; l’heure qu’on y passe va des rêves à la déraison, des souvenirs aux espoirs et, comme une enveloppe, cette idée qu’au-delà des valeurs du monde qui circulent entre les humains, la plus précieuse est notre propre vie, si, et seulement si elle possède « quelque chose » qui la dépasse, qui la transcende. Elisa, bienvenue « au pays des merveilles ». Elisa c’est « Alice au pays de nous-mêmes » ; nos rencontres, élans, exubérances, nos doutes, nos malaises aussi, car la vie nous éclabousse de toutes ses couleurs (… comme elle nous en fait voir !). Du clown blanc à l’Auguste bariolé, « Elisa-Emilie » nous embarque dans ses aventures qui sont aussi les nôtres. Puissante, affaiblie, comique, angoissée, toujours frémissante, en excès de peau ou à fleur de peau, elle est là spécialement pour nous et pour ce beau garçon aussi, Yan, souffleur de nouvelles inspirations et compagnon du voyage. La mise en scène de Céline est taillée sur mesure : vêtements vides, objets familiers s’incarnent sous nos yeux ; on songe à Lamartine « Choses inanimées, avez-vous donc une âme, qui s’attache à notre âme et la force d’aimer ». Quant à l’espace, si réduit pourtant, il va du ciel jusqu’au fond d’un gouffre ; l’heure qu’on y passe va des rêves à la déraison, des souvenirs aux espoirs et, comme une enveloppe, cette idée qu’au-delà des valeurs du monde qui circulent entre les humains, la plus précieuse est notre propre vie si, et seulement si elle possède des « quelque chose » qui la dépasse, qui la transcende. Elisa, bienvenue « au pays des merveilles ». # écrit le 04/02/07
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