-Au 19/10/19. Comme un envol au-dessus du "Yin Yang", qui entasse le silence confiant de l'acoustique du Clic & Déclic du 12/10/2019 et s'offre derrière un paravent, la solidarité d'un "respirer ensemble". Un épanouissement dans une chorégraphie, qui tape trois coups à 18 h 30, pour faire son apparition dans l'impasse où piétine l'avanthier du lieu, qui va fleurir au "THEO-THÉÂTRE".=.Un canari dans une cage blanche chante la quiétude de l'absente, la chaise est vide, sur l'avant-scène d'une "boîte noire ". D'un territoire parallèle, pour une danse visuelle, qui discerne "une espace".=.Une locution en miroir telle un galon de Moebius dans la sérénité de l'ombre d'une magie îlienne , qui retrouve un "escalier de secours" où il fleure bon le nappage d'une lumière chaotique, en empathie avec l'auditoire, en duplicité d'une urbanité maitrisée. Au "coeur de l'écoute", de l'ionosphère, comme un écho arc-en-ciel, qui se lâche à l'avant-première" et estampille un billet d'entrée, à la sortie d'un vortex où la créatrice exprime l'instant. Sous le Clair de lune, un rêve soulève la Rosée du matin et pose sur l'herbe rouge un "CLIC & DÉCLIC", dans une alchimie verdoyante.=.Sera-t-elle l'issue d'une jalousie de papillon métamorphosé, en sirène d'un songe d'une nuit, hors saison. Qui pour s'accomplir part à l'abordage d'une frontière galactique, où l'écho s'érige comme le rivage d'une mer de sable en voyage, sur une prose onirique aux quatrains des maux poétiques d'une tempête, dans une transmutation de tonalités fractalisée, dans une bolée de saveurs subtiles.=.Il ne vous reste plus qu'à vous acquitter d'une obole, pour venir vous mettre en appétit et souper dans son jardin aux grenades où sont assemblés les reflets d'une féminité en robe écarlate. Avec un formalisme qui s'emporte comme un parfum de liberté, dans un temps d'égalité à l'origine d'une fraternité. Fraternité réinsérée dans sa recette publique pour ceux qui ont la laïcité à la clef de son écriture, Prisca LONA est bien là.=.Sous une distribution de sonnets enluminée à l'encre sympathique, du "metteur en scène" Alexandre TCHOBANOFF, qui se dévoile en silhouette dans la chaleur intense d'un instant hors champ. # écrit le 18/10/19