-Chez Dementia Tremens rue du TEC On met un petit bout d'oreille ou un petit bout d'oeil et ça y est, on est happé dans une antre de rêves semi- éveillés, de cauchemars : songes d'une nuit d'hiver, cadencés par des chants venus d'ailleurs, un voyage dans une machine improbable, train-tramway ou. ? Ou l'on tressaute ou pas, qui se peignant, qui pleurant, tombant, hululant, fumant on ne sait quoi, aboyant ou gémissant , faisant tout ce que l'humain peut faire ou défaire. Un rythme haletant entre soubresauts,croassements, et jappements plaintifs, le bestiaire du T.E.C nous humanise à tout va : les animaux, les fous, les institutions déstructurées par leurs représentants ( nonne, princes du son et de la lumière, danseurs invertébrés, danseuses éthérées et désarticulées. Voyage en catharsis, orchestré, mis en vie par une Elizabeth Czerczuck décalée, cathartisee : au pays des jouets ( ah le magasin de jouets la nuit) , de là magie, des marionnettes humanisées, on reviendra . À la source mille et une fois je boirai.. # écrit le 29/10/21