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Deux frères que tout oppose et qui ne se sont pas vus depuis vingt ans, Fabien et Jean, se retrouvent soudainement réunis par le testament de leur père.

Cette fable palpitante qui nous emmène jusqu'aux frontières de la folie est considérée comme le chef d'oeuvre de Stefan Zweig. Après l'avoir achevé, il se donna la mort ainsi que sa femme, Lotte.

100% in English, accessible au cracks et aux cancres en anglais.

Une humoriste capable d'enchainer des stands-up et des tubes revisités à toutes les sauces (pop, rock, ragga, slow, rap...).Christelle Chollet : "Avant j'étais l'Empiafée, mais ça... c'était avant !"

Panique au Comité Miss Beauté !

Découvrez le spectacle de mentalisme Parisien de Xavier Nicolas.
Primé 3eme meilleur mentaliste Européen par l'Ordre Européen des mentalistes 2012.

Un salon de coiffure, un meurtre, un flic... des suspects ; à vous de jouer ! La première pièce dont le public est le héros...

Un homme semble sombrer peu à peu dans la schizophrénie, persuadé qu'un être invisible vit près de lui et se nourrit de sa vie pendant son sommeil.

L'histoire à la fois drôle et pathétique de Simon et Marie, qui pour sauver leur couple, se lancent dans la folle aventure de la thérapie à deux.

Subtil, corrosif, décapant, ennemi des idées reçues et du " bien pensant ", c'est sur la religion que la plume acide de Jeremy Ferrari a sévi.

Rictus narquois vissé sur un visage anguleux et dégaine de dandy, Stéphane Guillon déboule sur scène comme un diable sort de sa boîte, ou comme un torero dans l'arène.

Une femme cherche son père inconnu depuis l'enfance. Dotée d'une hypermnésie, elle a la mémoire de tout mais de son père elle ne se souvient de rien.

L'Argent-roi, l'argent qui corrompt et achète tout, l'argent qui salit, tisse les fils de l'intrigue jusqu'à son épilogue: un sujet qui rappelle étrangement l'actualité..

Pour assurer son Salut, Sophia s'est convertie aux trois grandes religions monothéistes. Elle nous promène dans le monde délirant de la foi.

Mère possessive et manipulatrice, Agrippine n'a reculé devant aucun forfait pour placer son fils Néron à la tête de l'empire romain, au détriment du prétendant légitime au trône, Britannicus.