Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes Centre Wallonie-Bruxelles Affiche

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Salle
où cet événement eut lieu :
Centre Wallonie-Bruxelles, 75004 Paris

Quatre courts métrages sur des artistes belges surréalistes

Centre Wallonie-Bruxelles, Paris

- Cet événement n'est plus disponible à la réservation dans cette salle -
Weekend "films sur l'art au Centre Wallonie-Bruxelles", en partenariat avec le Centre du Film sur l'Art, en présence de sa directrice S. Pialeprat

  • Alechinsky d'après nature de Luc de Heusch :
    (1970 – Belgique/France – 20 min.)
    Le travail de l'artiste est présent dès la première image.
    Bruit de papier déroulé qui devient musique, préparation du pinceau, impression d'un rituel qui tient à la fois des gestes du bon artisan et de quelque chose de fort, comme le torero qui entre dans l'arène.
    C'est lui aussi qui termine le film dans une longue et très belle séquence où le peintre fait un tableau sur fond sonore du rythme des Gilles. 0n a assisté en condensé et en urgence à la fête créative.

  • Dotremont-les-logogrammes de Luc de Heusch :
    (1972 – Belgique – 14 min.)
    Dès le générique, on entre en logogrammes à partir du lieu où s'est mis en place, fantasmatiquement chez Dotremont, le désir d'écriture inspiré par l'amour qu'il porte à Gloria. La caméra dira tout au long du film la position du corps, des mains, l'avancée de l'encre, donc la naissance de ses poèmes visuels, jusqu'à l'autodafé qui attend ceux qui ne sont pas parfaits.

  • 135 km à l'heure de Paul Bury et Clovis Prévost :
    (1972 – France – 12 min.)
    L'esthétique industrielle, en général, automobile en particulier, a toujours sollicité les plasticiens.
    Depuis les futuristes, en passant par Picabia pour arriver à César, Armand, Leccia, tous ont fait entrer dans leur oeuvre la fascination de la mécanique. Pol Bury, sculpteur, qui a introduit le mouvement dans son travail et cinéaste, était tout désigné pour répondre à la commande de la régie Renault : montrer une chaîne de montage.
    Plans rapprochés de gestes, de pièces, bruits de machines, presse, laminoirs, robot, tôle, il montre dans un film très découpé, rapide, la construction d'une automobile. Regard d'un artiste plus que film sur l'art.

  • Al Alimon de Coline Beuvelet :
    (2006 – France – 18 min.) Al Alimon : mot employé dans la corrida lorsque les deux toreros peuvent toréer le taureau simultanément en tenant chacun un bout de la même cape.
    Pierre Alechinsky nous raconte l'aventure picturale qu'il a partagée avec son ami Alberto Gironella. Un projet à quatre mains où le thème, la tauromachie, sera imposé par le peintre mexicain et le matériel utilisé (papier encre de chine) sera imposé par le peintre belge.








  • Pour Tout public

    Cinéma / Projection

    Langue : Français
    Durée : 90 minutes soit 01h30





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