La date coïncide avec l'enterrement de leur ami d'enfance Hannes, assassiné par son père.
Les personnages vont se disputer le terrain en proie aux forces antagonistes des pulsions désirantes et des injonctions nécessaires au maintien de l'équilibre collectif.

Ewald Palmetshofer démonte les mythes de la croyance, du bonheur, de l'amour, de la réussite...jusqu'à faire parvenir ses personnages au néant, face au néant, ces derniers n'ont plus aucune raison de se gêner...

Plus l'homme se conforme aux attentes sociales, plus il réprime sa liberté. Ce renoncement est-il possible sans un déchaînement de violence ?

Valérie Antonijevich explore l'angoisse existentielle liée au néant et à la perte de sens à travers un traitement jubilatoire qui engage les corps des acteurs et le regard du spectateur.