Vita # Bis : le fanatisme commence-t-il par le rejet de la femme ?

-A recommander !
Spectacle intellogent, brûlant d'actualité : la place de la femme dans nos sociétés, le rapport à la religion,... Métissage magnifique entre l'art lyrique (sublimes interventions en direct) et la pensée de Saint Augustin. Un magnifique moment théâtral où l'exigence de la pensée et une très belle scénographie nous emportent.
# écrit le 12/07/16

-Un spectacle enrichissant !
Une problématique actuelle, un jeu et une énergie à la hauteur des attentes: courez voir ce spectacle fascinant!
# écrit le 16/07/16

-Coup de cœur !!!
Bravo pour ce spectacle si intelligent et si sensible ! On se laisse porter du début à la fin grâce à la finesse du propos, mis en lumière divinement ! La musique de Purcell achève de donner à ce spectacle une note sublime... Allez-y !!
# écrit le 14/07/16

-superbe!
Texte magnifique, d'une très grande actualité. On est pris dans l'atmosphère énigmatique d'un marché de Buenos Aires. Texte servit par d'excellents comédiens et en contrepoint, par la voix envoutante de la chanteuse lyrique. Un excellent moment théâtral.
# écrit le 14/07/16

-Excellent
Excellent spectacle ... Le personnage d'Aline Gardel, magnifiquement interprété par Claudine Fievet, lumineuse et passionnée, nous entraine dans sa quête de la connaissance, de l'histoire des religions , et de la philosophie ... Et nous questionne ... En effet, à travers la découverte, dans une librairie iconoclaste de Buenos Aires, d'une magnifique lettre adressée à Saint Augustin par sa première compagne , nous découvrons le parcours de cet homme torturé qui bascule peu à peu dans une sorte de fanatisme religieux, qui n'est pas sans rappeler ceux qui nous touchent directement à l'heure actuelle ... Comment en arrive t'on à rejeter les femmes, la science et l'art au nom de Dieu ? Mis en scène de façon très vivante et poétique, avec une très belle utilisation des projections vidéos, par Jean Luc Palies , les destins, les temporalités et les personnages se croisent entre Buenos Aires ,Rome et Carthage ... Les comédiens sont tous excellent. Outre Claudine Fievet ,Jean Luc Palies dans son rôle de libraire mi bougon, mi-charmeur apporte un contrepoint comique et nécessaire à l'ensemble de la pièce et Alain Guillo apporte toute la subtilité de son jeu pour camper un Saint Augustin mystérieux et tourmenté ... Le tout est sublimé, par les apparitions fantomatiques de Magali Palies qui interprète des extraits de Didon et Enée et dont la voix envoutante , toute en puissance retenue nous plonge en plein coeur dans l'émotion de toutes ces femmes rejetées et bafouées au nom de la religion ou de la bienséance ... A voir absolument ...
# écrit le 19/03/16

-UN MILLEFEUILLE AERE
votre titre : UN MILLEFEUILLE TRES AERE votre texte : De la part de Charlie F. qui a vu le spectacle à Saint-Maur, samedi 12 Mars...: " L'air de rien, passé, présent se juxtaposent au gré des interrogations, des recherches et des hasards. Le singulier du parcours individuel y côtoie le pluriel de notre commun des mythes antiques, des textes fondateurs de la chrétienté, de la littérature universelle. Tout cela constitue une sorte de mille-feuilles dont les différentes couches entrent en vibration les unes avec les autres. La musique, la voix chantée subliment, en soutenant et en liant, cette composition multi-strates. La légèreté et le caractère aérien de cette représentation nous fait atteindre des perspectives vivantes, vivifiantes de réflexions et d'élaborations...et cette étrange hypothèse Aveyronnaise de la naissance de Carlos Gardel amène une part bienvenue de Tango et d'humour Latin"
# écrit le 17/03/16

-UN MILLEFEUILLE TRES AERE
De la part de Charlie F. qui a vu le spectacle à Saint-Maur, samedi 12 Mars...: " L'air de rien, passé, présent se juxtaposent au gré des interrogations, des recherches et des hasards. Le singulier du parcours individuel y côtoie le pluriel de notre commun des mythes antiques, des textes fondateurs de la chrétienté, de la littérature universelle. Tout cela constitue une sorte de mille-feuilles dont les différentes couches entrent en vibration les unes avec les autres. La musique, la voix chantée subliment, en soutenant et en liant, cette composition multi-strates. La légèreté et le caractère aérien de cette représentation nous fait atteindre des perspectives vivantes, vivifiantes de réflexions et d'élaborations...et cette étrange hypothèse Aveyronnaise de la naissance de Carlos Gardel amène une part bienvenue de Tango et d'humour Latin"
# écrit le 17/03/16

-UN BONHEUR DE CHAQUE INSTANT
De la part de Francis B. Cousté qui a vu la pièce dimanche 20 à Saint-Maur: Formidable réussite de votre pièce, chère Louise ! Rare équilibre des divers lieux & situations – et ce, grâce aussi à une mise en scène d'une parfaite lisibilité (bravo à Jean-Luc Paliès !). Non moins qu'à des jeux de lumière fort " éclairants "... Et que dire de la partie musicale - admirable soliste ! Aussi bien dans Purcell que dans Volver... Avec le concours d'un remarquable quatuor vocal ! Et quel bonheur, pour moi et mon épouse, de revoir l'image de tous ces hauts lieux de Buenos Aires, que nous avions naguère visités : tombe de Gardel bien sûr, barrio de San Telmo, mais aussi certaine vieille librairie du coeur de la cité Un bonheur de chaque instant ! Merci encore !
# écrit le 21/03/16

-d'actualité
Pourquoi voiler les femmes, pourquoi le célibat des prêtres, pourquoi séparer les hommes des femmes dans les lieux de culte, et pourquoi donc le tango, danse sensuelle qui rapproche les corps et crée l'émotion ? Je suis sorti de ce spectacle ému avec ces interrogations, les trouvant d'autant plus incongrues au 21ème siècle et pourtant...
# écrit le 19/01/16

-Passionnant
J'ai vu ce spectacle à Avignon. Il s'agit, au delà même de Saint-Augustin et du célibat des prêtres de parler de la mystérieuse peur qu'inspirent les femmes pour les religions engendrant des fanatismes...
# écrit le 13/01/16