Tout en restant fidèle à sa verve surréaliste et poétique, Michèle joue une musique plus swinguante qui laisse passer le souffle du Jazz (de Django Reinhardt à Jo Privat).

Cette tradition d'un swing typique parisien, née de la rencontre au début des années 30 entre pionniers de la guitare manouche et as du piano à bretelles, s'incarne ici aussi bien dans le choix de la formule orchestrale que dans la tonalité du répertoire (instrumental ou chanté), soutenu par la pulsation imprimée par la guitare de Max Robin et la contrebasse de Moïra Montier-Dauriac.

Michèle Buirette: accordéon, voix, textes
Max Robin: guitare
Moïra Montier-Dauriac: contrebasse