C'est cette ressemblance étonnante avec son aîné Jacques Brel qui, en premier lieu, trouble le spectateur qui découvre Arnaud Askoy pour la première fois.

Et puis, le geste se joint à la parole. Et là, le doute, inexorablement, s'installe. Une voix grave au timbre profond. Une gestuelle ponctuée de mimiques adressées telles des hommages...
Non, assurément non, il ne s'agit pas d'une pâle imitation aussi travaillée et réussie soit-elle !

Arnaud Askoy s'est imprégné de cet artiste dont il aime tant l'oeuvre que le personnage pour mieux s'en détacher et nous livrer une interprétation aussi fidèle que personnelle. Et là se situe l'ambiguïté... là s'opère la magie !