Talisco
Il a observé´ la Cité des Anges depuis les hauteurs de Mulholland Drive, au-dessus de la canopée urbaine, "pour contempler les lumières les plus brillantes de la ville". Pour faire la lumière sur soi. Le deuxième album de Talisco, Capitol Vision, illustre ses trois dernières années, son immersion californienne, la love Story avec L.A., les tournées un peu partout dans le monde et les plongées plus intérieures en studio.
L'heure est à l'affirmation : guitares cinglantes, cordes métalliques, jamais mécaniques, électro et hymnes indie-pop... Il revient de son périple américain marqué au fer rouge, à l'image du titre qui ouvre l'album "A kiss from L.A.". Un baiser brûlant, une morsure. "C'est un album plus brut que le précédent car je raconte des histoires que j'ai réellement vécues, il n'y a pas de fantasme, de personnages de fiction, de faux Talisco, c'est ma réalité´". Un homme dans la ville, pas dans le rêve américain.
De son home studio, Talisco lorgne les grands espaces et dessine sa propre mappemonde. On le sait, qu'ils aient les fesses posées sur un nuage ou le nez collé dans nos affaires terrestres, les anges vivent dans une autre dimension.

Daniel's Child
Un peu de Rock, d'Électro et de Pop...
Daniel's child est un projet " trip-hop "créé en 2009 par Benoit Rigoni (compositions / batterie) et Jérôme Ternon (arrangements / basse). Ils sortent un premier EP éponyme. En 2013, Émilie Consolle (chant) et Pierre Consolle (guitare / chant) intègrent le groupe qui se dirige vers des influences plus Pop et sortent alors un nouvel EP " Walk " en mars 2013, qu'ils joueront sur les scènes de la région Midi-Pyrénées ainsi qu'à Paris, au Bataclan, à l'occasion d'un tremplin.
En 2014 le groupe enregistre son troisième EP " Stories ". Daniel's Child prend alors des influences plus rock mais toujours teintées de cette atmosphère sombre et envoûtante faisant la part belle aux sonorités électroniques.
Ils travaillent aussi une formule acoustique qu'ils auront l'occasion de présenter lors de quelques concerts.
En 2015, Sebastien Bédé rejoint le groupe et accentue le côté électro et parfois étrange par ses sonorités sorties tout droit de ses claviers divers et variés et tous plus fous les uns que les autres.

Remi Parson
Quelques accents à la Chamfort sur des ambiances dignes des meilleurs moments de New Order pour résumer rapidement l'affaire. À la fois baroque et glacée, lyrique et claire, la synth-pop bittersweet terriblement efficace de Rémi Parson emporte et emballe, la cohérence esthétique de l'ensemble séduit, les mots de son intime font écho à nos vies.