Un directeur qui trompe sa femme, une épouse qui ne s'en laisse pas compter et se venge, une amie envahissante, sans gêne, espiègle et une infirmière qui est une terreur, cinglée, atypique, mais entreprenante, qui va devenir le cauchemar du mari, ça donne "Ma Femme me trompe, mais j'me soigne".
Une comédie de boulevard, contemporaine, aux savoureux délires qui met en scène le mari, Hubert de Saint Aman, l'amie de l'épouse, Véronique, Véro pour les intimes, sympathiquement espiègle et effrontée, qui s'incruste, ouvre le courrier d'Hubert de Saint Aman, "sait tout" et profite de cette situation cocasse pour le "matraquer" et carrément se "foutre" de lui, Marie de Saint Aman qui oblige Hubert, son mari, à soigner au domicile conjugal son addiction à la tromper, et l'infirmière, ou presque infirmière... complétement cinglée, qui fait des stages aux abattoirs...

C'est fou, c'est cocasse, c'est soutenu, c'est loin d'être triste...