Comme elle, nous sommes nombreux à aller bien. Nous sommes nombreux à avoir voulu que ça marche, avec lui, avec elle, quand ça n'a pas marché. Et aujourd'hui, nous sommes nombreux à consulter. Non, la thérapie, ce n'est pas une fatalité.

Oui, d'accord... Mais est-ce que ça pourrait se faire en douceur ? Est-ce que ça pourrait être normal, une bonne fois pour toutes, d'aller "consulter" ?
Elle se dit... Pourquoi tout est confus autour de moi quand j'ai déjà assez à faire avec moi-même ? Rester à sa place, trouver la bonne place, la sienne, une tâche apparemment aussi délicate pour le thérapeute que pour sa patiente. Pardon, pour ses patients. Car il semblerait qu'elle ne soit pas toute seule à penser dans ce corps...