Dilatés, compressés, scandés ou arrêtés, ces différents Temps nous entraînent dans un univers poétique où le saxophone, en constante métamorphose, nous fait voyager de l'élégance de Berlioz à la douceur de Leroux, de la noirceur de Ravel au mystère de Webern, en passant par le pulse électronique de Long Playing, nouvelle oeuvre du génial Matteo Franceschini.

Programme :
Ondrej Adamek (1979) – Inflexion (à la mémoire de Gérard Grisey) pour 2 saxophones alto (2001) (9')
Hector Berlioz (1803 – 1869) - Un Bal, extrait de la Symphonie Fantastique op.14 pour saxophone alto, violon et piano. (1830) Arrangement Yann Stoffel (6')
Vincent David (1974) – Grand Prix Lycéen des Compositeurs 2021 -Strates pour saxophone alto et soprano, violon et piano (2020) (11')
Création Parisienne Philippe Leroux (1959) – Un Lieu Verdoyant (hommage à Gérard Grisey) pour saxophone soprano et voix (1999) (5')
Anton Webern (1883-1945) – Quatuor op. 22 pour saxophone ténor, violon, clarinette et piano (1930) (5')
Maurice Ravel (1875-1937) – La Valse pour saxophone soprano, violon et piano (1921) Arrangement Yann Stoffel (13')
Matteo Franceschini (1979) - Long Playing pour saxophone ténor et électronique (2021) (12')
Création Mondiale