Big Jo' dans Big Jo' est drôle Les Tontons Flingueurs Affiche

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où cet événement eut lieu :
Les Tontons Flingueurs, 69001 Lyon


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23 critiques avec une note globale de
9/10

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3 pages de résultats
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Laeti Inscrite Il y a 11 ans 8 critiques 1  
Utile: Oui Non
-Big Jo est drôle
7/10

Oui, on peut rire de tout et tous ensemble. De sa non chalance et son calme sorte des vannes geniallissimes ! Ce soir j'ai vu "Big Jo est drôle" au Boui Boui et c'était bien ! J'ai passée une super soirée ! Merci ! Il parle de tout, il défend des messages. Il est courageux et il est drôle et en plus il est sympa. Et comme chaque histoire et pièce de théâtre on y parle de sujet atemporels, toujours utiles à réviser ! Merci !
# écrit le 26/08/19


Laure34 Inscrite Il y a 5 ans 1 critique  
Utile: Oui Non
-Un super moment!
10/10

J'ai eu le plaisir de pouvoir assister au spectacle de Big Jo', et je dois dire que j'ai été très agréablement surprise! J'ai rigolé du début à la fin, et j'ai totalement adhéré à son humour à la fois très "trash", vulgaire, noir mais également plein de finesse par moments. Les personnages qu'il joue sont drôles, originaux et sans aucun tabou, tout comme les textes de Big Jo' Je crois que c'est d'ailleurs cela que j'ai préféré : Cet humour totalement dénué de tabou et qui n'a pas peur de choquer ;) Oui, Big Jo' est drôle et je prendrai grand plaisir à le revoir sur scène :)
# écrit le 26/08/19


ASokolov Inscrit Il y a 5 ans 1 critique 1
Utile: Oui Non
-L'insoutenable malaise
1/10

Dans l'industrie de l'humour, les spectacles de qualité se font rares. "Big Jo' est drôle" n'en fait pas partie. Outre un titre vague, dépourvu d'originalité et mensonger. Sur l'heure programmée, Big Jo' aura occupé la scène pour seulement quarante-cinq minutes, remerciements compris. Quarante-cinq minutes douloureuses où le malaise se sera installé rapidement et où cinq minutes suffirent à comprendre qu'au fond l'absence de public n'empêcherait pas le déroulement du spectacle. Dans une discipline aussi frontale que celle du café-théâtre, l'absence de sens du quatrième mur est un véritable frein à la conquête du public. L'ennui s'installe au travers de sketchs touchant à des sujets banals (les noirs, la religion, l'hypocrisie...) et dont les angles d'attaques ne révèlent qu'une écriture impropre à la narration d'histoires et de situations d'où pourrait jaillir le comique. Une écriture demeurant tout juste bonne à aligner des punchlines douteuses, et dépourvues de finesse. Or, s'il est bien une chose qui permet de conquérir un public, c'est la puissance de l'imaginaire, la narration d'histoires et la mise en situation de personnages. On voudrait encourager Big Jo' à pousser l'exploitation de ses personnages jusqu'au bout (un Hitler fashionista, un Christ presque super-héroïque...) car c'est lorsque ces personnages se présentent qu'un semblant de vie point dans le spectacle. Hélas, négligeant toute mise en corps dans son jeu, l'émergence de cette vie est rendue impossible: assis sur son escalier, Big Jo' raconte son sketch, s'en tient à un développement superflu des personnages comme de son sujet, et le public s'endort. Rien ne permet à Big Jo' de le réveiller tant l'absence de rythme dans la prosodie rend imperceptible toute rupture. Aucun relief n'installe de tension dans laquelle le public pourra être surpris. Il y a là un cruel manque de travail, d'intuition et d'écoute de la part du comédien. Il faudra passer rapidement sur les quinze dernières minutes où, n'ayant rien à proposer à un public scrutant sa montre, Big Jo' nous fera subir le spectacle pitoyable d'un comédien devant se mettre en slip sur scène pour vomir un ignoble RnB au texte lourd d'infamies. De quoi faire sentir le public et le comédien seuls de chaque côté du quatrième mur. Le noir tombe sur une gorge profonde parachevant le malaise installé par un comédien dont la vulgarité et le manque de talent laissent une impression de viol en sortie de spectacle. La mise en scène, grotesque sinon inexistante, attribuée à Jim dont le spectacle "Dernière Tournée" programmé au même endroit et relèvant de la même platitude, ne fait que souligner l'absence de charisme, de technique et d'autant d'ingrédients nécessaires à l'instauration d'une véritable présence scénique.
# écrit le 24/08/19


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