Deux oeuvres majeures à l'unisson pour un programme de fêtes.

La Septième Symphonie, dont le deuxième mouvement est si célèbre, était considérée par Wagner comme " apothéose de la danse ", l'oeuvre ne se veut pourtant pas musique de danse. Le rythme en est l'essence même, élément unificateur de chaque mouvement et force maîtresse du tout. Beethoven s'exprimait rarement sur la "signification" de ses oeuvres. Toutefois, il est impossible d'écouter cette Septième Symphonie sans être submergé par un sentiment d'euphorie. Si la symphonie est exubérante, la Messe pour choeurs, solistes et orchestre, est un véritable joyau de fraîcheur et de tendresse mélodique. Schubert s'inspire de la force dramatique des messes de Haydn tout en affirmant voluptueusement ses caractéristiques d'écriture. A l'approche des fêtes de fin d'année, l'Orchestre nous offre un raffinement pour mélomanes.