Contrairement à toutes les girafes, Zarafa s'entête et veut pourtant exceller dans ces domaines.
Elle devra passer par des rêves qui tournent vite mal, affronter les sarcasmes des oiseaux, la vilénie du crocodile, et sa propre incompétence, avant de réaliser qu'être une girafe peut présenter de l'intérêt, et de suivre le conseil avisé de l'éléphant : devenir elle-même.

Zarafa est présente sur scène, version géante (2m), le crocodile est un "bouteillofon" (un balafon dont les lames sont remplacées par des bouteilles), les oiseaux volent et chatoient, le serpent dort mais mesure près de 3m, avec en toile de fond un éléphant qui veille sur tout ce beau monde

Zarafa est le premier d'une série de spectacles autour des musiques du monde, qui procède par continent. Ce premier volet est dédié à l'Afrique.
Il ne s'agit pourtant pas de proposer un spectacle traditionnel africain, ni en matière de musique, ni dans l'écriture du scénario : nous utilisons des animaux africains, des éléments de décors africains, voire des instruments africains, dans un cadre d'aujourd'hui. L'argument du spectacle est le parcours initiatique d'une jeune girafe un peu naïve.