Ce disque est né du deuil. Celui de son père et d'un ami proche lors de cette étrange période de pandémie du Covid, celle de sa jeunesse qu'il regarde désormais dans le rétroviseur depuis que la cinquantaine l'a attrapé. Il a donc fallu prendre le temps de cicatriser pour donner un album lumineux, intimiste et cathartique.

Hugh Coltman, voix
Matthis Pascaud, guitare
Laurent Vernerey, basse
Raphael Chassin, batterie

1ère partie : Minor Sing

Django Reinhardt et Stéphane Grappelli veillent sur eux, mais leurs interprétations et compositions regardent vers l'avant, avec un modernisme teinté parfois de pop ou de rock. L'humour est leur marque de fabrique et n'enlève rien à leur finesse de grands musiciens.
Leur nouvel album "Djangolympics" (Inouïe Distribution) met en exergue la devise olympique : Citius, Altius, Fortius (plus vite, plus haut, plus fort), livrant un swing musclé et poétique, aux arrangements survitaminés mais garantis sans dopage !