Scène ouverte à la danse ; Des émotions immuables grâce à une programmation de grande qualité, contemporaine avant tout, sous le signe de la découverte et de l'étonnement.
L'Espace Beaujon devient un territoire libre où s'exprimeront les créations individuelles et collectives d'aujourd'hui.

La programmation du 24 juin :
Cie Artmayge – " Dia le " chorégraphie Florence Boyer, musicien Guo Gan.
Cette oeuvre offre l'occasion de se familiariser avec la culture réunionnaise de s'immerger au coeur d'une pluralité culturelle dont le lien et le riz.

Cie Catidali – " Souffle " chorégraphie et danseurs Dalila Cortes, Catherine Ematchoua.
La mixité ethnique et artistique rassemble deux corps essoufflés et ses fantasmes.

Cie Magalie Lessueur "FATE" La chorégraphie a puisé dans les éléments des forces naturels qui nous entourent : le feu, la terre, l'eau et l'air avec la collaboration musicale de L. Coutineau en improvisation à la contrebasse.

Cie Emma Richard – " L'éveillée "
Et si cet éveil n'était encore qu'un songe, cette femme une chimère. Illusion d'un retour à la réalité, ou les contraintes physiques n'ont plus de limites.

Cie Belles Embardées – " My evil's flowers " Chorégraphie Jorge More Calderon, Danseurs : N. Boukhamel , B.C. Carbonell , J.M. Calderon
La chorégraphie se développe sur la musicalité extraordinaire de la langue de Charles Baudelaire. Nul besoin de s'attacher aux sens des mots, cette musique s'impose d'elle-même et paraît avoir été composée pour la danse.

Cie Inkörpur (Leipzig) – " out of body " chorégraphie Aurélien Dougé Danseurs : M. Kro, E. Milauskas, A.Dougé
Le corps, support inévitable, pivot de l'insertion de l'homme au monde. Il est ce petit fragment d'espace avec lequel au sens strict du terme, l'on fait corps. A la fois opaque et transparente, visible et invisible, vie et chose, notre identité vacille

Cie Sabdag – " Focus " chorégraphie collective C. Favriau, M. Jacques, musicien T. Humbert
Focus est une immersion sonore, visuelle et hypnotique qui interroge nos relations aux écrans. Comment le corps réagit à l'effet chimique de production continue de lumière et de son ?


La programmation du 25 juin
Les Piétons chorégraphie –camille Anglade
S'immisçant avec humour dans notre mise en scène, l'attente est vécue par 6 individus qui la déclinent, selon leur personnalité, un jour de grève de métro, la promiscuité d'un ascenseur, l'impatience d'une fille qui s'étire sans fin......

Cie Adéquate chorégraphie - David Gernez ,Lucie Augeai . " Noeud "
" Le sexe c'est ce que l'on voit, le genre c'est ce que l'on ressent " Dr Harry Benjamin. Existe-t-il encore une frontière entre l'homme et la femme ?

Cie AR .chorégraphie - Sonia Duquesne , Bernard Wayack Pambe " Tranche de lit/tranche de vie "
Lorsque la complicité laisse peu à peu place à l'incompréhension.

Jonglage Cie Piéton – Laurent Arasse

Cie Emoi. Chorégraphie - Carole Bordes " Guernica "
Inspiré par le tableau de Picasso et le poème de Paul Eluard, ce ballet est un hommage à une page de l'histoire : 26 avril 1937, Guernica symbole de liberté Basques , est bombardée par l'aviation Allemande et Italienne au service de Franco.

Cie IFP Rick Odums - "Steps in the street"
Chorégraphie de Martha Graham, Reconstruction - Pasqualina Noel Musique Wallinford Riegger - ré-orchestrée par Justin Dello Joio interprétée par les danseurs du Modern Dance Ensemble de l'IFPRO "Sans domicile fixe - dévastation - exil", cette oeuvre créée en 1936 décrit les conséquences universelle du drame social. Les images de cette danse rituelle peuvent ainsi illustrer n'importe quelle tragédie.

Cie La désobéissance des oiseaux.
Chorégraphie Laure Ferraris, Coline Hubert, Stevie Lardoux Sans presque jamais se toucher les cercles des êtres se fracassent les uns contre les autres, d'abord avec la rencontre du vide, mais une fois acceptée l'incertitude, l'ouverture au monde se fait par la fêlure, l'enchevêtrement se fait et devient inextricablement, nécessaire.

Cie D'Icidence. Chorégraphie - Céline Rouleaud " Chut "
Danse et musique: spectacle Vivant Comédie musicale métissée, le travail de la vie est sur une réflexion identitaire, ou chacun cherche sa propre culture en intégrant celle des autres.