Séductrice, sensuelle, dramatique, Waltraud Meier est l'une des grandes divas wagnériennes du moment. Même si elle fait l'essentiel de sa carrière depuis vingt ans à Bayreuth, les parisiens se souviennent d'une mémorable Kundry dans Parsifal il y a quelques années au Châtelet et plus récemment de son Isolde à l'Opéra Bastille. Elle revient aujourd'hui à Paris pour un récital, genre qu'elle affectionne tout particulièrement, consacré à des lieder de Brahms, Schumann et Schubert.

Au programme :

Alban Berg : Sieben frühe Lieder (sept Lieder de jeunesse) Schubert : Der Tod und das Mädchen, D. 531 Die Junge Nonne D. 828 Entracte Mahler : Des Knaben Wunderhorn (Le cor merveilleux de l’enfant) R. Strauss : Cäcilie, extrait de Vier Lieder, op. 27 / 2 Winterweihe, extrait de Fünf Lieder op. 48 / 4 Morgen, extrait de Vier Lieder, op. 27 / 4 Wie sollten wir geheim sie halten, extrait de Sechs Lieder aus « Lotosblätter », op. 19 / 4 Die Nacht, Zueignung, extraits de Acht Gedichte aus « Letzte Blätter », op. 10 / 3 et 1