Une voix profonde et fragile d'ange déchu, des textes étranges oscillant entre romantisme pervers et frénésie mélancolique, une french-pop aux accents britons qui réconcilie Daho et The Cure, Gainsbourg et Lloyd Cole : SVENSSON débarque avec un style décidément unique…

Nourri aussi bien aux influences post-punk et cold-wave de Joy Division et New Order qu'aux saveurs intimistes et littéraires des chansons de Murat et Dominique A, le jeune alchimiste toulousain offre sur son nouvel album « Aux Jours Meilleurs » une alternance effrénée de décharges électriques hypertendues et de moments de grâce nue à fendre les pierres.

« Ces chansons effrontées imposent à une pop anglaise aussi ténébreuse que mélodique l'intensité d'une écriture française littéraire et intime », ont dit Les Inrockuptibles… Sur scène, seul dans les caves enfumées des pubs ou partageant l'affiche avec des figures de la nouvelle scène française (comme Cali, Verone, ou La Grande Sophie) ou anglo-américaine (comme Andrew Bird ou The National), le jeune faux-suédois convoque guitares folk et cordes baroques pour d'inoubliables concerts doux-amers.