Et puis il y a la pollution qui a anéanti 99% des spermatozoïdes sur toute la planète tout en déréglant le climat de sorte que la chaleur "donne envie de niquer comme des lapins" mais sans jamais pouvoir se reproduire.

Or Max voudrait "laisser un petit Max derrière lui". Il vient de rencontrer une fille sublime, "sauvage et imprévisible", comme la nature. Après avoir fait testé ses "petits machins", il vient d'obtenir de l'administration un certificat de fertilité, tellement envié par les hommes, si recherché par les femmes. Il semble donc avoir tous les atouts en main pour entamer cette nouvelle relation.

Oui, mais non. Car Max est follement amoureux de Fleur, la fille nature, et il veut lui présenter le grand John, son meilleur ami afin de tester son amour et voir s'il peut lui "tournicoter le cerveau" (et les sens). De ces retrouvailles et cette confrontation vont naître, sinon un petit Max, du moins quelques surprises et beaucoup de rire.

Max et les enfoirés est une fable prémonitoire sans morale évidemment car ce ne serait pas drôle, c'est pour ça qu'on aime ces "enfoirés".