Dans ce conte, d’un tas d’ordure éclosent de fragiles fleurs rouges, ces coquelicots dont elle nous cogne, nous empoigne la vie, tout en caresses, là où ça fait mal et ça fait du bien…

Une véritable bête de scène, dangereuse comme un animal traqué, séduisante comme une fleur sauvage…

Auteur-compositeur-interprète, résolument autodidacte, elle nous chante la vie, avec violence et tendresse, rage et désinvolture. Un peu folle, un peu sexuelle, irrésistiblement espiègle et sensuelle…

Lauréate du Grand Zébrock 2005, de la 39ème médaille d’or de la chanson en Suisse et présélectionnée pour les découvertes du Printemps de Bourges 2006, Anaïs Kaël éclabousse tous ceux qui la croisent de ces chansons, marque indélébile de son conte coquelicot trash.